La ville d’Utrecht a connu une fin de semaine bien agitée. Ce vendredi et samedi, des quartiers de la ville ont été témoin d’actes de vandalisme. Ces émeutes ont débuté suite à un appel via les réseaux sociaux pour attaquer le quartier de Kanaleneiland.
Rien n’a été épargné, 250 jeunes manifestants ont lapidé la police à coups de pierres et de feux d'artifice, les voitures en stationnement ont également été visés, et plusieurs biens publics ont été détruit.
Pendant la soirée du vendredi, la police a procédé à l’arrestation de 18 des jeunes qui ont participé aux émeutes, suite à la fermeture des routes d’accès à proximité des protestations.
Samedi, les émeutes se sont poursuivies au quartier Overvecht, où des groupes d’adolescents ont investi la rue, avec des jets de pierres. Ces événements du samedi ont compté 25 arrestations.
C’est Abdelkader El Yendouzi, président du centre culturel islamique Leidsche Rijn (ICCLR), et des volontaires dudit centre qui ont pris l’initiative de s’adresser aux jeunes manifestants, dimanche, alors que ces derniers poursuivraient leurs émeutes au quartier Liedsche Rijn.
Le président de l’ICCLR raconte que "Nous avons reçu une alerte sur WhatsApp ce weekend, nous informant que ces incidents se dérouleront à Leidsche Rijn. Nous avons donc adressé des messages aux parents de la communauté pour empêcher leurs enfants d’y prendre part et vers 19 h, nous nous sommes rendus sur place, dans le centre où ils devaient se réunir, pour discuter avec ces jeunes"
Tout le monde est surpris et tout le monde se demande : "Quelle est la raison de ces événements ?"
Pour Abdelkader El Yendouzi, ces événements sont principalement dus à l'ennui «C’est peut-être dû aussi à la conjoncture actuelle, avec le coronavirus, l’absence d’activités et de voyages notamment au bled, mais ce sont des problèmes qui nous touchent tous». Il affirme qu’à Utrecht, c’est une première et explique les jeunes d’origine marocaine à Utrecht sont pour la plupart diplômés ou occupent des postes de responsabilité, et ne sont pas victimes de discrimination raciale.
Rien n’a été épargné, 250 jeunes manifestants ont lapidé la police à coups de pierres et de feux d'artifice, les voitures en stationnement ont également été visés, et plusieurs biens publics ont été détruit.
Pendant la soirée du vendredi, la police a procédé à l’arrestation de 18 des jeunes qui ont participé aux émeutes, suite à la fermeture des routes d’accès à proximité des protestations.
Samedi, les émeutes se sont poursuivies au quartier Overvecht, où des groupes d’adolescents ont investi la rue, avec des jets de pierres. Ces événements du samedi ont compté 25 arrestations.
C’est Abdelkader El Yendouzi, président du centre culturel islamique Leidsche Rijn (ICCLR), et des volontaires dudit centre qui ont pris l’initiative de s’adresser aux jeunes manifestants, dimanche, alors que ces derniers poursuivraient leurs émeutes au quartier Liedsche Rijn.
Le président de l’ICCLR raconte que "Nous avons reçu une alerte sur WhatsApp ce weekend, nous informant que ces incidents se dérouleront à Leidsche Rijn. Nous avons donc adressé des messages aux parents de la communauté pour empêcher leurs enfants d’y prendre part et vers 19 h, nous nous sommes rendus sur place, dans le centre où ils devaient se réunir, pour discuter avec ces jeunes"
Tout le monde est surpris et tout le monde se demande : "Quelle est la raison de ces événements ?"
Pour Abdelkader El Yendouzi, ces événements sont principalement dus à l'ennui «C’est peut-être dû aussi à la conjoncture actuelle, avec le coronavirus, l’absence d’activités et de voyages notamment au bled, mais ce sont des problèmes qui nous touchent tous». Il affirme qu’à Utrecht, c’est une première et explique les jeunes d’origine marocaine à Utrecht sont pour la plupart diplômés ou occupent des postes de responsabilité, et ne sont pas victimes de discrimination raciale.