Dans son dernier rapport sur la science intitulé : "La course contre la montre pour un développement plus intelligent » publié ce jeudi 11 février, l’Organisation des Nations Unies pour l'Education, la Science et la Culture (Unesco) souligne que bien que, chez Google, la proportion de femmes recrutées ait quelque peu progressé, celles-ci occupent moins d’un quart des postes techniques.
Le même schéma se retrouve chez un autre colosse américain des technologies, Apple, premier fabricant d’ordinateurs et de smartphones. Malgré les mesures prises depuis 2014 pour embaucher chaque année davantage de femmes et de personnes issues de minorités sous-représentées, les femmes n’occupent que 23 % des postes techniques et 29 % des postes de direction.
Amazon, la première plate-forme mondiale de commerce en ligne et d’informatique en nuage, essaie également de corriger le déséquilibre entre les femmes et les hommes. L’entreprise suit l’évolution du nombre de femmes et de personnes issues de minorités sous-représentées parmi ses employés ainsi que le poste qu’elles occupent. Cependant, seuls 27 % de ses managers seraient des femmes.
« Lorsqu’en 2018, le groupe s’est rendu compte que son système d’IA (Intelligence Artificielle) discriminait les candidates à des postes de développeur informatique et à d’autres postes techniques, il a engagé 50 millions de dollars des États-Unis en faveur de programmes de STIM (Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques) destinés aux groupes sous représentés », souligne l’Unesco.
Facebook s’en sort mieux quant au recrutement des femmes dans les postes de haute direction
Huawei, une multinationale chinoise spécialisée dans le matériel de télécommunication et l’électronique, a lancé de nombreuses initiatives qui visent à diversifier sa main-d’œuvre (nationalité, genre, âge, race et religion), notamment en mettant l’accent sur l’égalité des genres au travail et en interdisant les discriminations. Cependant, la proportion d’employées n’a pas décollé : en 2018, les femmes ne représentaient que 7 % de l’équipe de management.
Ni Huawei ni Amazon ne dévoilent la répartition par genre de leur effectif technique. Samsung, le géant de l’électronique et de l’électroménager intelligent dont le siège est situé en République de Corée, a déclaré en 2019 que seuls 17 % de ses effectifs en développement de produit et 6 % de ses directeurs exécutifs étaient des femmes.
Le poids lourd américain Microsoft, spécialisé dans le développement et la fabrication de logiciels, d’appareils électroniques grand public et d’ordinateurs personnels, entreprend des efforts pour recruter des femmes et favoriser la progression de leur carrière. Bien que le nombre de femmes aux postes techniques et aux postes de direction ait progressé ces dernières années, il se maintient toujours à 20 % environ.
Facebook s’en sort mieux que les autres mastodontes du secteur pour ce qui est du nombre de femmes à des postes de haute direction (33 %), mais le pourcentage de femmes employées à des postes techniques reste bas : 23 %.
Le même schéma se retrouve chez un autre colosse américain des technologies, Apple, premier fabricant d’ordinateurs et de smartphones. Malgré les mesures prises depuis 2014 pour embaucher chaque année davantage de femmes et de personnes issues de minorités sous-représentées, les femmes n’occupent que 23 % des postes techniques et 29 % des postes de direction.
Amazon, la première plate-forme mondiale de commerce en ligne et d’informatique en nuage, essaie également de corriger le déséquilibre entre les femmes et les hommes. L’entreprise suit l’évolution du nombre de femmes et de personnes issues de minorités sous-représentées parmi ses employés ainsi que le poste qu’elles occupent. Cependant, seuls 27 % de ses managers seraient des femmes.
« Lorsqu’en 2018, le groupe s’est rendu compte que son système d’IA (Intelligence Artificielle) discriminait les candidates à des postes de développeur informatique et à d’autres postes techniques, il a engagé 50 millions de dollars des États-Unis en faveur de programmes de STIM (Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques) destinés aux groupes sous représentés », souligne l’Unesco.
Facebook s’en sort mieux quant au recrutement des femmes dans les postes de haute direction
Huawei, une multinationale chinoise spécialisée dans le matériel de télécommunication et l’électronique, a lancé de nombreuses initiatives qui visent à diversifier sa main-d’œuvre (nationalité, genre, âge, race et religion), notamment en mettant l’accent sur l’égalité des genres au travail et en interdisant les discriminations. Cependant, la proportion d’employées n’a pas décollé : en 2018, les femmes ne représentaient que 7 % de l’équipe de management.
Ni Huawei ni Amazon ne dévoilent la répartition par genre de leur effectif technique. Samsung, le géant de l’électronique et de l’électroménager intelligent dont le siège est situé en République de Corée, a déclaré en 2019 que seuls 17 % de ses effectifs en développement de produit et 6 % de ses directeurs exécutifs étaient des femmes.
Le poids lourd américain Microsoft, spécialisé dans le développement et la fabrication de logiciels, d’appareils électroniques grand public et d’ordinateurs personnels, entreprend des efforts pour recruter des femmes et favoriser la progression de leur carrière. Bien que le nombre de femmes aux postes techniques et aux postes de direction ait progressé ces dernières années, il se maintient toujours à 20 % environ.
Facebook s’en sort mieux que les autres mastodontes du secteur pour ce qui est du nombre de femmes à des postes de haute direction (33 %), mais le pourcentage de femmes employées à des postes techniques reste bas : 23 %.