Ce projet stratégique qui vient renforcer les infrastructures de la région, tend à raffermir davantage les liens économiques et commerciaux entre le Maroc et sa profondeur africaine et constituera une interface maritime d’intégration économique et un hub de rayonnement continental et international. Objet d’une convention spécifique signée devant SM le Roi Mohammed VI, en février 2016, ce mégaprojet s’inscrit parfaitement dans le cadre des Hautes orientations du Souverain, réitérées dans Son discours à l’occasion du 45ème anniversaire de la Marche verte.
Cette infrastructure portuaire de taille permettra également de soutenir le développement économique, social et industriel des provinces du Sud, en particulier dans la région Dakhla-Oued Eddahab, dans tous les secteurs productifs, en particulier la pêche maritime, étant donné que la perle du Sud recèle des ressources halieutiques abondantes et diversifiées, représentant 65% du potentiel national exploitable. Doté d’une zone industrialo-logistique, d’une zone d’échange commerciale et d’une autre dédiée à la valorisation des activités de la pêche maritime, le port Atlantique va sans nul doute devenir un véritable axe économique autonome capable de repositionner toute la région sur les routes maritimes.
Un port moderne comme celui de Dakhla Atlantique va contribuer assurément à mettre en exergue la région, en tant qu’une porte d’entrée vers les pays du continent africain et un pôle attractif pour les investisseurs locaux et étrangers intéressés par l’exportation vers l’Afrique, en particulier dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Dans ce sillage, ce projet prendra en compte l’importance de la liaison routière, à savoir la voie express Tiznit-Dakhla qui demeure un réel pont logistique entre le Maroc et le reste des pays africains pour bâtir une coopération sud-sud agissante et un développement économique en plein essor.
Parallèlement avec le lancement des travaux de sa construction, il sera procédé au lancement de trois composantes à savoir la valorisation des ressources de la pêche maritime et la mise en place d’une zone d’accélération industrielle, ainsi qu’une zone dédiée aux activités logistiques.
Doté d’une conception évolutive et extensible, ce projet portera sur la réalisation d’un port en eaux profondes sur la façade Atlantique de la région, selon trois composantes à savoir un port de commerce à une profondeur de -16 m/zéro hydrographique, un port dédié à la pêche côtière et hauturière, et un port dédié à l’industrie navale. Situé à 40 km au nord de la ville de Dakhla, ce port sera adossé à une zone industrialo-logistique de 1.650 hectares destinée à offrir des services industriels et logistiques de qualité.
Suite à l’achèvement des études relatives à la réalisation de ce complexe portuaire, le ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau a procédé au lancement de l’appel d’offres avec présélection relatif à la réalisation des travaux de construction du nouveau port Dakhla Atlantique, dont les résultats de la phase de présélection ont été publiés par le ministère, conformément à la règlementation des marchés publics en vigueur.
Cette infrastructure portuaire de taille permettra également de soutenir le développement économique, social et industriel des provinces du Sud, en particulier dans la région Dakhla-Oued Eddahab, dans tous les secteurs productifs, en particulier la pêche maritime, étant donné que la perle du Sud recèle des ressources halieutiques abondantes et diversifiées, représentant 65% du potentiel national exploitable. Doté d’une zone industrialo-logistique, d’une zone d’échange commerciale et d’une autre dédiée à la valorisation des activités de la pêche maritime, le port Atlantique va sans nul doute devenir un véritable axe économique autonome capable de repositionner toute la région sur les routes maritimes.
Un port moderne comme celui de Dakhla Atlantique va contribuer assurément à mettre en exergue la région, en tant qu’une porte d’entrée vers les pays du continent africain et un pôle attractif pour les investisseurs locaux et étrangers intéressés par l’exportation vers l’Afrique, en particulier dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Dans ce sillage, ce projet prendra en compte l’importance de la liaison routière, à savoir la voie express Tiznit-Dakhla qui demeure un réel pont logistique entre le Maroc et le reste des pays africains pour bâtir une coopération sud-sud agissante et un développement économique en plein essor.
Parallèlement avec le lancement des travaux de sa construction, il sera procédé au lancement de trois composantes à savoir la valorisation des ressources de la pêche maritime et la mise en place d’une zone d’accélération industrielle, ainsi qu’une zone dédiée aux activités logistiques.
Doté d’une conception évolutive et extensible, ce projet portera sur la réalisation d’un port en eaux profondes sur la façade Atlantique de la région, selon trois composantes à savoir un port de commerce à une profondeur de -16 m/zéro hydrographique, un port dédié à la pêche côtière et hauturière, et un port dédié à l’industrie navale. Situé à 40 km au nord de la ville de Dakhla, ce port sera adossé à une zone industrialo-logistique de 1.650 hectares destinée à offrir des services industriels et logistiques de qualité.
Suite à l’achèvement des études relatives à la réalisation de ce complexe portuaire, le ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l’Eau a procédé au lancement de l’appel d’offres avec présélection relatif à la réalisation des travaux de construction du nouveau port Dakhla Atlantique, dont les résultats de la phase de présélection ont été publiés par le ministère, conformément à la règlementation des marchés publics en vigueur.