Cette procédure apporte une solution permanente et proactive au problème et permet de traiter les marchandises en souffrance dans des délais précis et convenus, explique l’APRAM dans un communiqué, annonçant que cette mesure sera, dans une seconde phase, généralisée aux autres ports du Royaume.
En effet, les marchandises en souffrance sont des marchandises générales et des marchandises conteneurisées généralement abandonnées par les destinataires au port. Elles constituent un problème récurrent pour l’ensemble des intervenants portuaires dans la mesure où il porte atteinte à l’intégrité du port et à l’optimisation de ses espaces.
En plus de nuire à l’image du port, les marchandises en souffrance entraînent des coûts de stockage et des surestaries et affectent négativement les taux de fret des importations marocaines.
Grâce au travail de l’équipe qui s’est mise à réfléchir et à concevoir des processus optimaux pour améliorer significativement la gestion des marchandises en souffrance, cette mesure permet de réduire considérablement le temps que ces marchandises restent dans le conteneur portuaire, précise-t-on.
Le travail de cette équipe a été avalisé par le directeur général de l’Administration des Douanes et Impôts Indirects (l’ADII), Nabyl Lakhdar, et le Président de l’APRAM, Aziz Mantrach, indique l’association, soulignant que le succès de cette initiative dépend du soutien inconditionnel de toutes les entités et les acteurs portuaires, publics et privés.
La Douane et l’APRAM ont créé dans le cadre de leur partenariat, qui avait commencé en 2013 à Casablanca grâce à un accord-cadre, un espace de réflexion visant à proposer des solutions aux problèmes et attentes de tous les intervenants.
Marsa Maroc, le principal opérateur portuaire au Maroc, a signalé une augmentation significative de l’activité maritime à travers les ports du pays qui continuent d’assister à une augmentation de l’activité commerciale, notamment le port de Casablanca, deuxième plus grand port marocain. Dans des déclarations publiées la semaine dernière, la société a signalé une augmentation de l’activité maritime à 23 millions de tonnes dans ses ports, soit une croissance de 22% par rapport à l’activité maritime en 2020.
Le commerce avec de nombreuses grandes puissances économiques telles que les États-Unis continue d’augmenter de manière significative, car de plus en plus d’entreprises considèrent le Maroc comme une puissance économique régionale et un site majeur pour l’industrialisation.
En effet, les marchandises en souffrance sont des marchandises générales et des marchandises conteneurisées généralement abandonnées par les destinataires au port. Elles constituent un problème récurrent pour l’ensemble des intervenants portuaires dans la mesure où il porte atteinte à l’intégrité du port et à l’optimisation de ses espaces.
En plus de nuire à l’image du port, les marchandises en souffrance entraînent des coûts de stockage et des surestaries et affectent négativement les taux de fret des importations marocaines.
Grâce au travail de l’équipe qui s’est mise à réfléchir et à concevoir des processus optimaux pour améliorer significativement la gestion des marchandises en souffrance, cette mesure permet de réduire considérablement le temps que ces marchandises restent dans le conteneur portuaire, précise-t-on.
Le travail de cette équipe a été avalisé par le directeur général de l’Administration des Douanes et Impôts Indirects (l’ADII), Nabyl Lakhdar, et le Président de l’APRAM, Aziz Mantrach, indique l’association, soulignant que le succès de cette initiative dépend du soutien inconditionnel de toutes les entités et les acteurs portuaires, publics et privés.
La Douane et l’APRAM ont créé dans le cadre de leur partenariat, qui avait commencé en 2013 à Casablanca grâce à un accord-cadre, un espace de réflexion visant à proposer des solutions aux problèmes et attentes de tous les intervenants.
Marsa Maroc, le principal opérateur portuaire au Maroc, a signalé une augmentation significative de l’activité maritime à travers les ports du pays qui continuent d’assister à une augmentation de l’activité commerciale, notamment le port de Casablanca, deuxième plus grand port marocain. Dans des déclarations publiées la semaine dernière, la société a signalé une augmentation de l’activité maritime à 23 millions de tonnes dans ses ports, soit une croissance de 22% par rapport à l’activité maritime en 2020.
Le commerce avec de nombreuses grandes puissances économiques telles que les États-Unis continue d’augmenter de manière significative, car de plus en plus d’entreprises considèrent le Maroc comme une puissance économique régionale et un site majeur pour l’industrialisation.
Kawtar CHAAT
Gestion portuaire : comment atteindre plus fluidité au niveau des exportations ?
Lors d’un webinaire sous le thème : « Fluidifier et sécuriser le passage portuaire des marchandises par le port de Casablanca », l’Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX) s’est penchée sur la situation de l’exportation au port de Casablanca et a exploré plusieurs pistes d’amélioration.
Cette rencontre virtuelle a permis de débattre l’ensemble des problématiques liées à l’export par voie maritime, notamment les stratégies du port de Casablanca.
Parmi les perspectives d’avenir pour fluidifier le passage des marchandises par ce port, les intervenants ont proposé : la facilitation des procédures afin de booster la compétitivité des entreprises exportatrices, et la minimisation des coûts des transactions, tout en maintenant l’efficacité du contrôle portuaire, ce qui permettra un passage portuaire accéléré, transparent et digitalisé, selon Abdelaziz Mantrach, vice-président de l’ASMEX.
Cette rencontre virtuelle a permis de débattre l’ensemble des problématiques liées à l’export par voie maritime, notamment les stratégies du port de Casablanca.
Parmi les perspectives d’avenir pour fluidifier le passage des marchandises par ce port, les intervenants ont proposé : la facilitation des procédures afin de booster la compétitivité des entreprises exportatrices, et la minimisation des coûts des transactions, tout en maintenant l’efficacité du contrôle portuaire, ce qui permettra un passage portuaire accéléré, transparent et digitalisé, selon Abdelaziz Mantrach, vice-président de l’ASMEX.