Feu Larbi Chebbak était une pièce incontournable de l’échiquier mis en place par Mardarescu et qui va remporter le seul titre continental acquis par les Lions de l’Atlas en 1976. Même si une vilaine blessure au genou va l’éloigner définitivement du haut niveau, il était toujours en équipe nationale. Il était le chouchou de feu Hassan II qui l’a demandé en 1975 lors de la finale de la Coupe du Trône qui a opposé l’USK au Chabab de Mohammédia. Le Roi défunt a donné Ses hautes instructions pour que Larbi soit traité et suivi dans les meilleures conditions.
Larbi Chebbak va exploser lorsqu’il était recruté en 1969 par l’USK. Il va constituer avec les Amri, les Bendriss, Zaki, Khailou, Fettah, Semmat… une équipe de rêve. Il restera fidèle à l’USK jusqu’à la fin de sa carrière. C’est à Sidi-Kacem que sa fille Ghizlaine a vu le jour.
Elle a grandi au milieu des godasses et près des terrains vagues où elle a appris à taper au ballon en ayant comme modèle son papa. Ensuite, l’histoire va continuer lorsqu’elle a signé pour les FAR où elle va s’épanouir. Elle a été, toujours, soutenu par son papa qui veillait sur elle.
Avant son décès, Larbi m’a contacté pour avoir mon avis sur un éventuel transfert vers l’Athletico Madrid qui voulait la recruter, mais les dirigeants militaires étaient réticents.
Tel père telle fille, cet adage peut s’appliquer parfaitement à Ghizlaine qui ressemblait beaucoup à son papa par sa combativité, sa technique et sa lecture du jeu. Même si elle n’est pas championne d’Afrique comme son papa en 1976, elle a été élue meilleure joueuse du Tournoi et Larbi peut dormir tranquillement dans sa tombe.
Larbi Chebbak va exploser lorsqu’il était recruté en 1969 par l’USK. Il va constituer avec les Amri, les Bendriss, Zaki, Khailou, Fettah, Semmat… une équipe de rêve. Il restera fidèle à l’USK jusqu’à la fin de sa carrière. C’est à Sidi-Kacem que sa fille Ghizlaine a vu le jour.
Elle a grandi au milieu des godasses et près des terrains vagues où elle a appris à taper au ballon en ayant comme modèle son papa. Ensuite, l’histoire va continuer lorsqu’elle a signé pour les FAR où elle va s’épanouir. Elle a été, toujours, soutenu par son papa qui veillait sur elle.
Avant son décès, Larbi m’a contacté pour avoir mon avis sur un éventuel transfert vers l’Athletico Madrid qui voulait la recruter, mais les dirigeants militaires étaient réticents.
Tel père telle fille, cet adage peut s’appliquer parfaitement à Ghizlaine qui ressemblait beaucoup à son papa par sa combativité, sa technique et sa lecture du jeu. Même si elle n’est pas championne d’Afrique comme son papa en 1976, elle a été élue meilleure joueuse du Tournoi et Larbi peut dormir tranquillement dans sa tombe.