Alors que de plus en plus de joueurs et joueuses émettent des doutes quant à leur présence à l’US Open (31 août au 13 septembre), Andy Murray a déclaré, au Guardian, qu’il était disposé à faire le déplacement à New York. «Il y a trois ou quatre semaines, j’étais assez sceptique. Mais ma perception des choses a changé et maintenant je m’entraîne vraiment pour être prêt pour l’US Open. Mentalement, je suis focalisé là-dessus, même si j’ai toujours quelques appréhensions».
Murray explique, cependant, qu’il aurait souhaité s’entraîner de façon plus spécifique pour préparer le rendez-vous new yorkais : «J’avais pensé aller dans un endroit où les températures étaient plus élevées pour m’entraîner. Mais voyager augmente les risques d’attraper le virus, ce qui implique que l’on ne peut plus voyager ou s’entraîner pendant deux semaines. Ce n’est pas l’idéal pour chasser les doutes avant un Grand Chelem. J’espère que cela pourra se faire, mais sinon je ferai avec. Et si on le fait, c’est que cela sera, vraiment, dans des conditions de sûreté maximales».
Le Britannique avait prévu, comme beaucoup, de retrouver le circuit à Washington. Mais l’annulation du tournoi a contrarié ses plans. «Je vais, peut-être, jouer les qualifications à Cincinnati, ou demander une wild-card. La dernière fois que j’ai joué un tournoi la semaine d’avant un Grand Chelem, je devais avoir 19 ans. Je ne suis pas très chaud pour enchaîner les deux tournois. Pour la plupart des gars, ils sortent de cinq ou six mois sans compétition, mais pour moi, la dernière fois remonte à dix mois…».
Murray explique, cependant, qu’il aurait souhaité s’entraîner de façon plus spécifique pour préparer le rendez-vous new yorkais : «J’avais pensé aller dans un endroit où les températures étaient plus élevées pour m’entraîner. Mais voyager augmente les risques d’attraper le virus, ce qui implique que l’on ne peut plus voyager ou s’entraîner pendant deux semaines. Ce n’est pas l’idéal pour chasser les doutes avant un Grand Chelem. J’espère que cela pourra se faire, mais sinon je ferai avec. Et si on le fait, c’est que cela sera, vraiment, dans des conditions de sûreté maximales».
Le Britannique avait prévu, comme beaucoup, de retrouver le circuit à Washington. Mais l’annulation du tournoi a contrarié ses plans. «Je vais, peut-être, jouer les qualifications à Cincinnati, ou demander une wild-card. La dernière fois que j’ai joué un tournoi la semaine d’avant un Grand Chelem, je devais avoir 19 ans. Je ne suis pas très chaud pour enchaîner les deux tournois. Pour la plupart des gars, ils sortent de cinq ou six mois sans compétition, mais pour moi, la dernière fois remonte à dix mois…».