Quelque 500 mineurs marocains sont toujours coincés à Sebta. Bien qu'ils soient pris en charge par les centres d’accueil, il n'en demeure pas moins qu'ils restent privés d'éducation. Ainsi, le secrétaire général des commissions ouvrières (CCOO) de Sebta, Juan Luis Aróstegui, a demandé au ministère de l'Éducation espagnol de permettre à tous les mineurs y compris les enfants et les adolescent marocains qui se trouvent dans la ville d’accéder aux écoles afin de garantir leur « le droit à l'éducation fondamentale », rapporte le journal espagnol El Faro de Ceuta ,.
Pour le leader du CCOO, les enfants doivent impérativement accéder aux écoles durant cette conjoncture difficile, « ils devraient être éduqués dans le centre et le niveau qui leur correspond car dans ce contexte il n'y a plus d'excuses quant à leur résidence légale et effective », précise-t-il.
Selon les sources d’El Faro, la scolarité des enfants pourrait être pris en charge par l’Association «Digmun » et le collège « CEIP Príncipe Felipe de Ceuta ».
La situation irrégulière des enfants migrants marocains ne doit pas constituer un obstacle à leur scolarisation puisqu’en Espagne, l’enseignement de base est gratuit et garanti à tous, en vertu de la loi sur la protection juridique des mineurs dont l’article 10 stipule que les mineurs, sans autre distinction, «ont le droit de recevoir une assistance adéquate des administrations publiques pour l'exercice effectif de leurs droits, y compris l'éducation ».
Rappelons que depuis le début de l’année courante, le nombre des mineurs marocains non accompagnés à Sebta, n’a cessé de croître, près de 491 enfants et adolescents sont répartis sur les centres de supervision.
Pour le leader du CCOO, les enfants doivent impérativement accéder aux écoles durant cette conjoncture difficile, « ils devraient être éduqués dans le centre et le niveau qui leur correspond car dans ce contexte il n'y a plus d'excuses quant à leur résidence légale et effective », précise-t-il.
Selon les sources d’El Faro, la scolarité des enfants pourrait être pris en charge par l’Association «Digmun » et le collège « CEIP Príncipe Felipe de Ceuta ».
La situation irrégulière des enfants migrants marocains ne doit pas constituer un obstacle à leur scolarisation puisqu’en Espagne, l’enseignement de base est gratuit et garanti à tous, en vertu de la loi sur la protection juridique des mineurs dont l’article 10 stipule que les mineurs, sans autre distinction, «ont le droit de recevoir une assistance adéquate des administrations publiques pour l'exercice effectif de leurs droits, y compris l'éducation ».
Rappelons que depuis le début de l’année courante, le nombre des mineurs marocains non accompagnés à Sebta, n’a cessé de croître, près de 491 enfants et adolescents sont répartis sur les centres de supervision.