Le sondage, conduit par Ipsos-Sopra Steria pour Le Monde, la Fondation Jean-Jaurès et le Cevipof (le centre de recherches politiques de Sciences Po), auprès d'un panel fort de 12.500 personnes montre qu’Emmanuel Macron arriverait largement en tête du premier tour du scrutin, avec 25% des intentions de vote, devant Valérie Pécresse, la candidate des Républicains (LR), et Marine Le Pen, celle du Rassemblement National (RN), qui se trouvent à égalité à 15,5%.
Au second tour, le président sortant l'emporterait face à Valérie Pécresse (54% contre 46%), et plus largement contre Marine Le Pen (57% contre 43%), toujours selon ce sondage.
Le polémiste Eric Zemmour obtiendrait quant à lui 13% des intentions de vote au premier tour.
À gauche, aucun candidat n'atteindrait la barre des 10% des voix. Ainsi, Jean-Luc Mélenchon (LFI) arriverait en tête des intentions de vote avec 8%, devant Yannick Jadot (EELV, 7%), Christiane Taubira (5%) et Anne Hidalgo (PS, 3,5%).
Ce sondage a été réalisé du 14 au 17 janvier auprès d'un échantillon de 12.542 personnes inscrites sur les listes électorales. Sa marge d'erreur est comprise entre 0,2 et 0,9 point.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage, tiennent à souligner les auteurs du sondage.
Au second tour, le président sortant l'emporterait face à Valérie Pécresse (54% contre 46%), et plus largement contre Marine Le Pen (57% contre 43%), toujours selon ce sondage.
Le polémiste Eric Zemmour obtiendrait quant à lui 13% des intentions de vote au premier tour.
À gauche, aucun candidat n'atteindrait la barre des 10% des voix. Ainsi, Jean-Luc Mélenchon (LFI) arriverait en tête des intentions de vote avec 8%, devant Yannick Jadot (EELV, 7%), Christiane Taubira (5%) et Anne Hidalgo (PS, 3,5%).
Ce sondage a été réalisé du 14 au 17 janvier auprès d'un échantillon de 12.542 personnes inscrites sur les listes électorales. Sa marge d'erreur est comprise entre 0,2 et 0,9 point.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage, tiennent à souligner les auteurs du sondage.