Le Parlement de Tobrouk a convoqué le Conseil de la Commission électorale pour une session consacrée aux raisons de l'échec de l'élection présidentielle, prévue pour janvier courant et reportée à une date non déterminée.
Des déclarations de plusieurs députés au parlement de Tobrouk, confirment l'impossibilité de tenir les élections présidentielles sur la nouvelle date proposée par la commission.
Et avant même d'annoncer officiellement son rejet de la nouvelle date proposée par le Haut-Commissariat aux élections présidentielles, le Parlement de Tobrouk a entamé la préparation d’une feuille de route alternative qui inclut des dates logiques avec des délais raisonnables pour les élections, laissant marge de temps pour résoudre les nombreux problèmes qui l'ont entravées la fois précédente, avec la participation de tous les partis, y compris le Parlement libyen.
Parallèlement, le Parlement a convoqué lundi le chef de la commission électorale, Imad al-Sayeh, qui a confirmé que les obstacles sécuritaires, judiciaires et politiques ont constitué un « cas de force majeure » qui empêchait la tenue des élections présidentielles dans sa date initiale.
La commission parlementaire chargée d'élaborer une nouvelle feuille de route pour les élections a entamé ses démarches pour accomplir la « tâche difficile » qui lui a été confiée dans les plus brefs délais, après la colère grandissante de l'opinion face aux réticences des partis chargés de gérer le processus électoral.
Vers l’élargissement de la base de participation
Dans le but de parvenir à un nouvel accord pour mettre fin aux divergences sur les questions politiques et juridiques qui ont joué un rôle de premier plan dans l'échec décevant de l'organisation des élections présidentielles, la commission a rencontré les chefs de commissions du Conseil d'État à Tripoli, les principaux partis opposés aux lois électorales promulguées par le Parlement.
Selon un communiqué publié par la Chambre des représentants, « ces réunions se concentreront sur la voie constitutionnelle, en consultation avec toutes les parties, de manière à élargir la base de la participation pour parvenir à un consensus sur celle-ci dès que possible ».
Le membre du Conseil d'Etat, Adel Karmous, a déclaré que "leur rencontre avec le Comité de la feuille de route à la Chambre des représentants a débouché sur un consensus de visions entre les deux parties", mettant l’accent sur « la nécessité de parvenir à une formule consensuelle dans l'aspect juridique ».
Il a ajouté que la commission œuvre avec la Chambre pour préparer une feuille de route qui couvre tous les aspects de l'étape actuelle, tels que la voie constitutionnelle, la réconciliation nationale et le sort du pouvoir exécutif.
Des déclarations de plusieurs députés au parlement de Tobrouk, confirment l'impossibilité de tenir les élections présidentielles sur la nouvelle date proposée par la commission.
Et avant même d'annoncer officiellement son rejet de la nouvelle date proposée par le Haut-Commissariat aux élections présidentielles, le Parlement de Tobrouk a entamé la préparation d’une feuille de route alternative qui inclut des dates logiques avec des délais raisonnables pour les élections, laissant marge de temps pour résoudre les nombreux problèmes qui l'ont entravées la fois précédente, avec la participation de tous les partis, y compris le Parlement libyen.
Parallèlement, le Parlement a convoqué lundi le chef de la commission électorale, Imad al-Sayeh, qui a confirmé que les obstacles sécuritaires, judiciaires et politiques ont constitué un « cas de force majeure » qui empêchait la tenue des élections présidentielles dans sa date initiale.
La commission parlementaire chargée d'élaborer une nouvelle feuille de route pour les élections a entamé ses démarches pour accomplir la « tâche difficile » qui lui a été confiée dans les plus brefs délais, après la colère grandissante de l'opinion face aux réticences des partis chargés de gérer le processus électoral.
Vers l’élargissement de la base de participation
Dans le but de parvenir à un nouvel accord pour mettre fin aux divergences sur les questions politiques et juridiques qui ont joué un rôle de premier plan dans l'échec décevant de l'organisation des élections présidentielles, la commission a rencontré les chefs de commissions du Conseil d'État à Tripoli, les principaux partis opposés aux lois électorales promulguées par le Parlement.
Selon un communiqué publié par la Chambre des représentants, « ces réunions se concentreront sur la voie constitutionnelle, en consultation avec toutes les parties, de manière à élargir la base de la participation pour parvenir à un consensus sur celle-ci dès que possible ».
Le membre du Conseil d'Etat, Adel Karmous, a déclaré que "leur rencontre avec le Comité de la feuille de route à la Chambre des représentants a débouché sur un consensus de visions entre les deux parties", mettant l’accent sur « la nécessité de parvenir à une formule consensuelle dans l'aspect juridique ».
Il a ajouté que la commission œuvre avec la Chambre pour préparer une feuille de route qui couvre tous les aspects de l'étape actuelle, tels que la voie constitutionnelle, la réconciliation nationale et le sort du pouvoir exécutif.