La dernière édition du Moussem Moulay Abdallah Amghar a été marquée par plusieurs activités culturelles organisées en parallèle.
Entre autres, l’exposition des photos de l’art de la Tbourida signées le journaliste-photographe sportif Aziz El Mehdi, surnommé Sindibad Doukkala.
L’objectif à travers ces clichés, souligne Aziz, « est de mettre en valeur cet art noble et de le présenter davantage aux citoyens ».
Et d'ajouter que « l’équitation, ou ce que les Marocains nomment Tbourida, est un symbole de fierté, de générosité et de courage, notant qu’au cours des années, je me suis rendu compte que la Tbourida n’est pas qu’un simple cavalier qui chevauche et se précipite, pour tirer un ou deux coups de fusil. C’est bien plus que ça, car l’histoire de cette pratique traditionnelle qui, depuis toujours, impressionne vieux et jeunes, étend ses racines bien loin dans l’Histoire », a t-il indiqué dans une déclaration à « L’Opinion Sports ».
Le stand dédié à cette exposition a subjugué les visiteurs, par le talent de cet artiste-photographe. L’atmosphère créée est telle que l’on peut deviner aisément les senteurs âcres de la poudre, le son des sabots lancés au galop, les youyous des admiratrices, les cris du Allam (leader de la Sorba) et les sons de l’Aita, jouée un peu partout dans le Moussem.
Tous les ingrédients sont là. Ils nous font une belle reconstitution des airs de fêtes d’antan, et nous replongent sans peine, dans cet univers unique qu’est la Tbaourida.
« Ses photos sont un véritable charme, beauté et grâce. Elles nous peignent ces regards fiers des cavaliers, la poussière soulevée par leurs folles chevauchées, la fumée du baroud sous un soleil couchant, les poignards, les Jellabas, les baudriers, les bottes de cuir…
Toute la panoplie du cavalier marocain est là, immortalisée à jamais », souligne un visiteur impressionné.
Entre autres, l’exposition des photos de l’art de la Tbourida signées le journaliste-photographe sportif Aziz El Mehdi, surnommé Sindibad Doukkala.
L’objectif à travers ces clichés, souligne Aziz, « est de mettre en valeur cet art noble et de le présenter davantage aux citoyens ».
Et d'ajouter que « l’équitation, ou ce que les Marocains nomment Tbourida, est un symbole de fierté, de générosité et de courage, notant qu’au cours des années, je me suis rendu compte que la Tbourida n’est pas qu’un simple cavalier qui chevauche et se précipite, pour tirer un ou deux coups de fusil. C’est bien plus que ça, car l’histoire de cette pratique traditionnelle qui, depuis toujours, impressionne vieux et jeunes, étend ses racines bien loin dans l’Histoire », a t-il indiqué dans une déclaration à « L’Opinion Sports ».
Le stand dédié à cette exposition a subjugué les visiteurs, par le talent de cet artiste-photographe. L’atmosphère créée est telle que l’on peut deviner aisément les senteurs âcres de la poudre, le son des sabots lancés au galop, les youyous des admiratrices, les cris du Allam (leader de la Sorba) et les sons de l’Aita, jouée un peu partout dans le Moussem.
Tous les ingrédients sont là. Ils nous font une belle reconstitution des airs de fêtes d’antan, et nous replongent sans peine, dans cet univers unique qu’est la Tbaourida.
« Ses photos sont un véritable charme, beauté et grâce. Elles nous peignent ces regards fiers des cavaliers, la poussière soulevée par leurs folles chevauchées, la fumée du baroud sous un soleil couchant, les poignards, les Jellabas, les baudriers, les bottes de cuir…
Toute la panoplie du cavalier marocain est là, immortalisée à jamais », souligne un visiteur impressionné.