La Coordination syndicale du secteur du transport routier au Maroc, composée de la Confédération démocratique du travail (CDT), l’Union générale du travail au Maroc (UGTM), l’Union marocaine du travail (UMT), l’Union nationale du travail au Maroc (UNTM) et la Fédération démocratique du travail (FDT), a exprimé sa ferme condamnation quant à la hausse alarmante du prix du carburant qui a accru la souffrance des professionnels.
Dans un communiqué, la Coordination a appelé le gouvernement à prendre toutes les mesures permettant la fixation du prix du gasoil et de l’essence, soulignant la nécessité de revoir la composition des prix jugés « exagérés ».
Tout en pointant du doigt le manque de soutien du gouvernement, la même source a fait savoir que la crise des professionnels se poursuit du moment que le prix du gasoil constitue plus de 80% du coût total des transports.
La coordination syndicale a appelé les autorités compétentes à ouvrir une enquête sur le marché des carburants au Maroc, caractérisé par une structure semi-monopolistique.
Elle a, par ailleurs, exhorté tous les professionnels à resserrer les rangs et à se préparer à s'engager dans toutes les formes légitimes de lutte, y compris une grève nationale.
Suite à la hausse des prix des matières de première nécessité, dont le gaz et les hydrocarbures, le Maroc vit au rythme d’une inflation qui touche le monde entier. Compte tenu de cette situation, le gouvernement a boosté le budget de la Caisse de compensation dans la loi de Finances 2022.
Dans un communiqué, la Coordination a appelé le gouvernement à prendre toutes les mesures permettant la fixation du prix du gasoil et de l’essence, soulignant la nécessité de revoir la composition des prix jugés « exagérés ».
Tout en pointant du doigt le manque de soutien du gouvernement, la même source a fait savoir que la crise des professionnels se poursuit du moment que le prix du gasoil constitue plus de 80% du coût total des transports.
La coordination syndicale a appelé les autorités compétentes à ouvrir une enquête sur le marché des carburants au Maroc, caractérisé par une structure semi-monopolistique.
Elle a, par ailleurs, exhorté tous les professionnels à resserrer les rangs et à se préparer à s'engager dans toutes les formes légitimes de lutte, y compris une grève nationale.
Suite à la hausse des prix des matières de première nécessité, dont le gaz et les hydrocarbures, le Maroc vit au rythme d’une inflation qui touche le monde entier. Compte tenu de cette situation, le gouvernement a boosté le budget de la Caisse de compensation dans la loi de Finances 2022.