Compte tenu des moult tensions qui sévissent dans la région sud-méditerranéenne et nord-africaine, le Maroc ne peut qu’être perçu comme le seul pays stable du Maghreb. Le Royaume présente, en effet, des atouts majeurs qui font de ce pays en mouvement un havre de paix régionale et continentale, et ce, avec la stabilité et la sécurité dont il jouit dans une région qui connaît des bouleversements très importants. Un constat confirmé par Jean Thomas Lesueur, chercheur à l’Institut Thomas More, dans une analyse publiée sur le site français « Causeur.fr ».
« La stabilité du Maroc est un bien précieux pour les Marocains d’abord mais aussi pour l’Afrique, pour l’espace méditerranéen et pour l’Europe », a-t-il souligné.
Analysant la portée pour l’Europe et le monde occidental des élections législatives couplées à celles communales et régionales, tenues le 8 août 2021, le chercheur a ajouté que « cela fait au moins deux décennies que le pays travaille à parfaire et polir les différentes facettes de cette stabilité (…) institutionnelle et économique ».
« Le Maroc investit massivement dans son tissu industriel, dans les infrastructures… », a affirmé l’auteur de cette analyse, ajoutant que si « la question du partage des fruits du développement reste pressante dans le pays, la comparaison avec ses voisins régionaux montre le volontarisme du Maroc ».
Quid de la lutte contre les inégalités
Selon le chercheur, « la lutte contre les inégalités compte parmi les enjeux prioritaires. Le chemin sera long mais certaines réformes sont déjà actées : la lutte contre la corruption et la prévarication avec le renforcement de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption ; le mouvement de déconcentration et de régionalisation, qui doit favoriser l’efficacité et la proximité de l’action publique ; la constitutionnalisation et la régionalisation du Conseil National des Droits de l’Homme ».
Mettant en exergue « la stabilité religieuse » du Maroc et alors que la question de l’islam domine l’agenda mondial, le chercheur de l’Institut Thomas More a souligné que « le Royaume promeut une conception apaisée et équilibrée de l’Islam, dont le rayonnement déterminera en partie l’issue de la longue guerre contre le terrorisme ».
Enfin, s’agissant de « la stabilité géopolitique », le Maroc est situé à l’extrême-Occident de plusieurs mondes en crise (monde musulman, zone sahélo- saharienne et Maghreb) et à l’intersection méditerranéenne de l’Afrique et de l’Europe. Il est « tout simplement incontournable », a-t-il fait savoir, soulignant la fermeté des positions du Royaume et la portée de ses alliances, notamment avec les États-Unis et l’Europe.
« Ce rapide tour d’horizon montre un fait nouveau pour nous autres Européens : l’accession définitive du Maroc au rang de première puissance régionale », a-t-il conclu, indiquant qu’« il est temps pour l’Occident de renforcer entente et alliance avec le seul pays stable du Maghreb » et de considérer le Maroc comme son principal interlocuteur dans le monde arabe.
« La stabilité du Maroc est un bien précieux pour les Marocains d’abord mais aussi pour l’Afrique, pour l’espace méditerranéen et pour l’Europe », a-t-il souligné.
Analysant la portée pour l’Europe et le monde occidental des élections législatives couplées à celles communales et régionales, tenues le 8 août 2021, le chercheur a ajouté que « cela fait au moins deux décennies que le pays travaille à parfaire et polir les différentes facettes de cette stabilité (…) institutionnelle et économique ».
« Le Maroc investit massivement dans son tissu industriel, dans les infrastructures… », a affirmé l’auteur de cette analyse, ajoutant que si « la question du partage des fruits du développement reste pressante dans le pays, la comparaison avec ses voisins régionaux montre le volontarisme du Maroc ».
Quid de la lutte contre les inégalités
Selon le chercheur, « la lutte contre les inégalités compte parmi les enjeux prioritaires. Le chemin sera long mais certaines réformes sont déjà actées : la lutte contre la corruption et la prévarication avec le renforcement de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption ; le mouvement de déconcentration et de régionalisation, qui doit favoriser l’efficacité et la proximité de l’action publique ; la constitutionnalisation et la régionalisation du Conseil National des Droits de l’Homme ».
Mettant en exergue « la stabilité religieuse » du Maroc et alors que la question de l’islam domine l’agenda mondial, le chercheur de l’Institut Thomas More a souligné que « le Royaume promeut une conception apaisée et équilibrée de l’Islam, dont le rayonnement déterminera en partie l’issue de la longue guerre contre le terrorisme ».
Enfin, s’agissant de « la stabilité géopolitique », le Maroc est situé à l’extrême-Occident de plusieurs mondes en crise (monde musulman, zone sahélo- saharienne et Maghreb) et à l’intersection méditerranéenne de l’Afrique et de l’Europe. Il est « tout simplement incontournable », a-t-il fait savoir, soulignant la fermeté des positions du Royaume et la portée de ses alliances, notamment avec les États-Unis et l’Europe.
« Ce rapide tour d’horizon montre un fait nouveau pour nous autres Européens : l’accession définitive du Maroc au rang de première puissance régionale », a-t-il conclu, indiquant qu’« il est temps pour l’Occident de renforcer entente et alliance avec le seul pays stable du Maghreb » et de considérer le Maroc comme son principal interlocuteur dans le monde arabe.
S. M. (avec MAP)