En ce matin du premier décembre au dôme gris de lin, les premières pluies de saison sont arrivées, non sans en faire tressauter plus d’un de joie et d’exultation, de quoi ouvrir la voie aux espoirs les plus enjoués.
Dans les compartiments du train liant la capitale économique du Royaume à sa capitale administrative, la plénitude se lit sur tous les visages. Les averses et les ondées ont, visiblement, un effet neuroleptique sur le moral des citoyens qui, aujourd’hui, ont rejoint leurs bureaux le coeur plein d’entrain. «Que le Ciel nous soit aussi généreux que clément », prient à l’unisson les plus croyants d’entre eux. L’heure est, donc, à l’espérance et aux perspectives réjouissantes. L’heure est aussi propice à raisonner en termes plus prosaïques concernant les systèmes de gestion optimale des ressources hydriques qui résulteront de ces pluies que nous souhaitons abondantes et bienfaitrices.
L’heure est, surtout, celle de la mise en avant d’une nouvelle avancée nationale dans le domaine de la gestion proactive des phénomènes météorologiques dangereux, pour éviter le scénario macabre des années passées.
Il y a quelques mois de cela, le ministère de l’Equipement et de l’Eau a rendu public son nouveau système d’alerte météorologique. Dans un contexte national dominé par la résurgence des phénomènes météorologiques exceptionnels, ce dispositif d’alerte anticipée permet l’élaboration de prévisions à des échelles spatiales et temporelles encore plus fines.
Ce mécanisme de vigilance météorologique, conçu pour superviser et suivre l’occurrence des phénomènes météorologiques, tout en combinant la possibilité d’occurrence d’un ou plusieurs phénomènes dangereux, a la particularité d’indiquer par zones (communes et provinces) et en quatre couleurs (vert, jaune, orange, rouge) les paliers de risques liés aux conditions météorologiques. Mais pour le moment, il est plutôt au rose du bonheur. Espérons que cela dure.
Dans les compartiments du train liant la capitale économique du Royaume à sa capitale administrative, la plénitude se lit sur tous les visages. Les averses et les ondées ont, visiblement, un effet neuroleptique sur le moral des citoyens qui, aujourd’hui, ont rejoint leurs bureaux le coeur plein d’entrain. «Que le Ciel nous soit aussi généreux que clément », prient à l’unisson les plus croyants d’entre eux. L’heure est, donc, à l’espérance et aux perspectives réjouissantes. L’heure est aussi propice à raisonner en termes plus prosaïques concernant les systèmes de gestion optimale des ressources hydriques qui résulteront de ces pluies que nous souhaitons abondantes et bienfaitrices.
L’heure est, surtout, celle de la mise en avant d’une nouvelle avancée nationale dans le domaine de la gestion proactive des phénomènes météorologiques dangereux, pour éviter le scénario macabre des années passées.
Il y a quelques mois de cela, le ministère de l’Equipement et de l’Eau a rendu public son nouveau système d’alerte météorologique. Dans un contexte national dominé par la résurgence des phénomènes météorologiques exceptionnels, ce dispositif d’alerte anticipée permet l’élaboration de prévisions à des échelles spatiales et temporelles encore plus fines.
Ce mécanisme de vigilance météorologique, conçu pour superviser et suivre l’occurrence des phénomènes météorologiques, tout en combinant la possibilité d’occurrence d’un ou plusieurs phénomènes dangereux, a la particularité d’indiquer par zones (communes et provinces) et en quatre couleurs (vert, jaune, orange, rouge) les paliers de risques liés aux conditions météorologiques. Mais pour le moment, il est plutôt au rose du bonheur. Espérons que cela dure.
Houda BELABD