Bien que le ministère de tutelle ait annoncé l’agrément de l’enseignement présentiel dans tous les établissements du secteur public à compter du 1er octobre, la direction de l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II a choisi de démarrer à distance, une décision à laquelle les étudiants font objection.
« Plus de 92% des étudiants de l’institut désirent regagner les amphithéâtres et l’internat et ont adhéré avec patriotisme et citoyenneté au programme national de vaccination anti Covid-19 », déclarent les étudiants de l’IAV dans un communiqué.
Cette décision est une « atteinte remarquable au principe d’égalité des chances entre universités, écoles supérieures et instituts qui bénéficient d’un retour en présentiel », dénoncent-ils. L’enseignement à distance a entravé la formation des étudiants de l’IAV, avec la suspension complète des travaux pratiques, stages et sorties sur le terrain qui sont indispensables à leur formation, ajoutent-ils.
Dans ce même contexte, l’Association des Etudiants de l’Ecole Nationale de l’Industrie Minérale, a déclaré que les élèves ingénieurs de cette école s’inquiètent pour leur formation et leur position dans le marché du travail du fait que la conjoncture de la pandémie les a privés de combiner entre le théorique et le technique.
« Plus de 92% des étudiants de l’institut désirent regagner les amphithéâtres et l’internat et ont adhéré avec patriotisme et citoyenneté au programme national de vaccination anti Covid-19 », déclarent les étudiants de l’IAV dans un communiqué.
Cette décision est une « atteinte remarquable au principe d’égalité des chances entre universités, écoles supérieures et instituts qui bénéficient d’un retour en présentiel », dénoncent-ils. L’enseignement à distance a entravé la formation des étudiants de l’IAV, avec la suspension complète des travaux pratiques, stages et sorties sur le terrain qui sont indispensables à leur formation, ajoutent-ils.
Dans ce même contexte, l’Association des Etudiants de l’Ecole Nationale de l’Industrie Minérale, a déclaré que les élèves ingénieurs de cette école s’inquiètent pour leur formation et leur position dans le marché du travail du fait que la conjoncture de la pandémie les a privés de combiner entre le théorique et le technique.
K. CH.