Même en temps de Covid, Saïd, un chauffeur de grand taxi garde un air serein. Assis dans l’ombre, il guette paisiblement les passants, attendant qu’un client se manifeste. Face à lui, un gardien qui lave les véhicules pour qu’ils soient fins prêts à accueillir les usagers.
C’est à l’Avenue Mansour Eddahbi que ça se passe. Toute de blanc vêtue, cette allée où sont stationnés plusieurs taxis procédant, chacun son tour, au pointage biométrique se situe au cœur de la capitale. Les autorités sont sur place pour veiller au respect des règles et au bon déroulement des choses.
Hormis les autorités, les chauffeurs semblent solidaires, et s’entendent plutôt bien : « On n’a pas de problèmes, pourquoi est-ce qu’il y en aurait ? Nous avons passé l’âge des querelles inutiles », témoigne Saïd. Le seul souci qui persiste, est celui des bus. Ces derniers prendraient trop de place sur l’allée et créent des embouteillages difficiles à gérer. D’autant plus qu’avec leur arrivée sur les lieux, plusieurs taxis ne trouvent plus de place pour se garer. Installé depuis plusieurs années déjà, l’intérêt du système de pointage biométrique est de permettre de pallier les problèmes confrontés dans le pointage classique. En effet, la procédure d’octroi du duplicata du permis de confiance en cas de perte prenait entre 2 à 3 mois suite à une longue procédure d’enquête et de vérification par les services de police et des autorités locales. Ainsi, l’adoption du permis de confiance biométrique constitue une nouvelle technologie dans le cadre des efforts d’organisation et de gestion du secteur de transport urbain au Maroc.
Aujourd’hui, l’opération de contrôle obligatoire par les services de la police à chaque reprise de service par un chauffeur se fait avec des permis de confiance biométriques.
Dans la ville lumière, il existe trois sites de pointage, à l’Avenue Mansour Eddahbi, à Hay Nahda, ainsi qu’à Al Kamra.
Opération de dépistage pour les chauffeurs
Il convient de rappeler qu’en septembre dernier, une campagne de dépistage a été organisée au centre de Sidi Makhlouf, à Rabat, au profit des chauffeurs de petits taxis dans le cadre des mesures préventives de lutte contre le virus. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des mesures prises pour ralentir le rythme de contamination en vue d’endiguer la transmission du Covid-19.
Bon nombre de conducteurs de taxi ont pu profiter de cette initiative menée par les autorités locales sous la supervision du ministère de la Santé.
C’est à l’Avenue Mansour Eddahbi que ça se passe. Toute de blanc vêtue, cette allée où sont stationnés plusieurs taxis procédant, chacun son tour, au pointage biométrique se situe au cœur de la capitale. Les autorités sont sur place pour veiller au respect des règles et au bon déroulement des choses.
Hormis les autorités, les chauffeurs semblent solidaires, et s’entendent plutôt bien : « On n’a pas de problèmes, pourquoi est-ce qu’il y en aurait ? Nous avons passé l’âge des querelles inutiles », témoigne Saïd. Le seul souci qui persiste, est celui des bus. Ces derniers prendraient trop de place sur l’allée et créent des embouteillages difficiles à gérer. D’autant plus qu’avec leur arrivée sur les lieux, plusieurs taxis ne trouvent plus de place pour se garer. Installé depuis plusieurs années déjà, l’intérêt du système de pointage biométrique est de permettre de pallier les problèmes confrontés dans le pointage classique. En effet, la procédure d’octroi du duplicata du permis de confiance en cas de perte prenait entre 2 à 3 mois suite à une longue procédure d’enquête et de vérification par les services de police et des autorités locales. Ainsi, l’adoption du permis de confiance biométrique constitue une nouvelle technologie dans le cadre des efforts d’organisation et de gestion du secteur de transport urbain au Maroc.
Aujourd’hui, l’opération de contrôle obligatoire par les services de la police à chaque reprise de service par un chauffeur se fait avec des permis de confiance biométriques.
Dans la ville lumière, il existe trois sites de pointage, à l’Avenue Mansour Eddahbi, à Hay Nahda, ainsi qu’à Al Kamra.
Opération de dépistage pour les chauffeurs
Il convient de rappeler qu’en septembre dernier, une campagne de dépistage a été organisée au centre de Sidi Makhlouf, à Rabat, au profit des chauffeurs de petits taxis dans le cadre des mesures préventives de lutte contre le virus. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des mesures prises pour ralentir le rythme de contamination en vue d’endiguer la transmission du Covid-19.
Bon nombre de conducteurs de taxi ont pu profiter de cette initiative menée par les autorités locales sous la supervision du ministère de la Santé.
Kenza AZIOUZI