Cette rencontre, organisée par la Faculté des sciences de Rabat du 21 au 26 février, s’inscrit dans le cadre du projet européen H2020, coordonné par le Conseil supérieur de la recherche scientifique en Espagne (CSIC).
Cette Ecole internationale d’hiver se concentre sur les méthodes théoriques et empiriques pour aborder les petits, moyens et grands systèmes dans l’atmosphère, et les stratégies de base pour organiser de futurs projets liés au changement climatique.
Ces journées scientifiques comprennent des ateliers théoriques et appliqués pour étudier les causes qui affectent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique et un atelier de sensibilité pour examiner l’impact du climat sur la société.
En ouverture des travaux, le doyen de la Faculté des sciences de Rabat, Mohamed Regragui, a souligné l’importance de ce séminaire scientifique pour la Faculté, ses étudiants et ses chercheurs, considérant que le réchauffement climatique est devenu une menace aussi bien pour l’être humain que pour la Nature.
La Faculté des sciences est impliquée dans le projet ATMOS 2022 avec de nombreux pays pour soutenir les chercheurs afin de trouver des solutions aux problèmes liés aux phénomènes atmosphériques et au réchauffement climatique à travers leur étude et leur analyse en théorie et en pratique, a-t-il dit.
Pour sa part, le vice-président de l’Université Mohammed V de Rabat, Ismaïl Kassou, a relevé que cette Ecole vise à engager les jeunes dans la compréhension des émissions de chaleur et de leur impact sur la Nature et les humains.
De même, il a mis en avant l’implication de l’université dans l’accompagnement des jeunes docteurs à travers une série de projets sur le changement climatique et de partenariats avec des entreprises travaillant dans le domaine pour aider les chercheurs à valoriser leurs recherches, dans le but d’une connaissance réelle des phénomènes liés à l’atmosphère et d’une formulation de réponses aux questions sur le réchauffement climatique.
Dans le même sillage, la coordinatrice locale de l’Ecole internationale d’hiver de la Faculté des sciences, Najia Komiha, a relevé que tous les problèmes et causes liés au réchauffement climatique sont devenus d’un grand intérêt pour les chercheurs, notant que le projet, en général, vient discuter des changements climatiques, de leurs causes en vue d’essayer de trouver des solutions.
Le séminaire réunit plus de 100 chercheurs et experts dans le domaine du climat et du réchauffement climatique venus d’Espagne, de France, de Chine, du Royaume-Uni, d’Allemagne, de Tunisie, d’Algérie, en plus du Maroc.
Cette Ecole internationale d’hiver se concentre sur les méthodes théoriques et empiriques pour aborder les petits, moyens et grands systèmes dans l’atmosphère, et les stratégies de base pour organiser de futurs projets liés au changement climatique.
Ces journées scientifiques comprennent des ateliers théoriques et appliqués pour étudier les causes qui affectent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique et un atelier de sensibilité pour examiner l’impact du climat sur la société.
En ouverture des travaux, le doyen de la Faculté des sciences de Rabat, Mohamed Regragui, a souligné l’importance de ce séminaire scientifique pour la Faculté, ses étudiants et ses chercheurs, considérant que le réchauffement climatique est devenu une menace aussi bien pour l’être humain que pour la Nature.
La Faculté des sciences est impliquée dans le projet ATMOS 2022 avec de nombreux pays pour soutenir les chercheurs afin de trouver des solutions aux problèmes liés aux phénomènes atmosphériques et au réchauffement climatique à travers leur étude et leur analyse en théorie et en pratique, a-t-il dit.
Pour sa part, le vice-président de l’Université Mohammed V de Rabat, Ismaïl Kassou, a relevé que cette Ecole vise à engager les jeunes dans la compréhension des émissions de chaleur et de leur impact sur la Nature et les humains.
De même, il a mis en avant l’implication de l’université dans l’accompagnement des jeunes docteurs à travers une série de projets sur le changement climatique et de partenariats avec des entreprises travaillant dans le domaine pour aider les chercheurs à valoriser leurs recherches, dans le but d’une connaissance réelle des phénomènes liés à l’atmosphère et d’une formulation de réponses aux questions sur le réchauffement climatique.
Dans le même sillage, la coordinatrice locale de l’Ecole internationale d’hiver de la Faculté des sciences, Najia Komiha, a relevé que tous les problèmes et causes liés au réchauffement climatique sont devenus d’un grand intérêt pour les chercheurs, notant que le projet, en général, vient discuter des changements climatiques, de leurs causes en vue d’essayer de trouver des solutions.
Le séminaire réunit plus de 100 chercheurs et experts dans le domaine du climat et du réchauffement climatique venus d’Espagne, de France, de Chine, du Royaume-Uni, d’Allemagne, de Tunisie, d’Algérie, en plus du Maroc.
Achraf EL OUAD
ATMOS 2022, pour le soutien des chercheurs
Le projet ATMOS finance le transfert de chercheurs entre différentes universités et institutions partenaires du projet afin de contribuer à la compréhension des phénomènes atmosphériques à l’origine du changement climatique.
Dans ce sens, la responsable scientifique du programme ATMOS 2022, Isabel Kleiner, a indiqué que la pandémie de Covid-19 a montré l’importance des sciences, en particulier celles liées au climat et au réchauffement climatique, étant donné que des études ont confirmé le lien entre les virus et ces phénomènes.
À cet égard, elle a appelé à la création de sciences compétitives et solidaires entre les peuples pour un avenir meilleur pour l’humanité, notant que les sciences liées aux phénomènes atmosphériques se sont imposées avec force parce qu’elles «sont devenues nécessaires pour éviter la destruction de la planète».