Au cœur de Rabat, une rencontre artistique unique prend forme, où les horizons lointains de l'Amérique du Sud et la richesse culturelle du Maroc se fondent en une toile colorée d'expression artistique.
L'exposition "Entre temps et espace" au Musée national de la photographie célèbre cette fusion créative. En accueillant les œuvres de 17 artistes talentueux, venant de pays aussi variés que l'Argentine, le Pérou, le Chili, et le Maroc, cette exposition incarne la diversité et la convergence des cultures. Cet événement entre dans le cadre de la prestigieuse Biennale internationale d’art contemporain (Bienalsur), organisée par l’Université argentine « Tres de Febrero de Buenos Aires » en Argentine.
L’ouverture de cette exposition a eu lieu, mercredi 4 octobre, en présence de nombreux artistes originaires du Maroc, d’Argentine, du Chili, du Pérou, du Mexique, du Brésil et de Colombie, qui expriment de manière poétique la diversité de notre réalité contemporaine.
Ravi de l’immersion dans cette exposition artistique, le conservateur du musée national de la photographie, Soufiane Er-rahoui, s’est exprimé au micro de « L’Opinion » : « Je suis extrêmement enthousiaste de présenter à nos visiteurs cette magnifique exposition qui réunit une sélection d'artistes de haute qualité. À travers cette exposition, plusieurs thématiques captivantes émergent, telles que l'exploration de l'identité, les questionnements existentiels, la poésie de l'espace, et la quête d'une parenté entre les deux rives de l'Atlantique. Nous sommes convaincus que cette exposition offre une expérience artistique riche et diversifiée au public ».
À travers leurs perspectives entrelacées, le parcours de l'exposition illustre un échange visuel et conceptuel entre diverses cultures, invitant le public à explorer des espaces qui engagent avec l'immensité, la solitude, le vide, ainsi que les traces laissées par les communautés et l'influence mutuelle de ces éléments. Les thèmes du temps, des événements, de la mémoire, de l'Histoire, de l'identité et des imaginaires passés et présents sont abondamment explorés dans leurs créations.
Les visiteurs ont eu l'opportunité de parcourir ces œuvres, tissant des liens entre des continents lointains, et partageant des histoires, des points de vue, ainsi que des formes artistiques singulières.
L'exposition "Entre temps et espace" au Musée national de la photographie célèbre cette fusion créative. En accueillant les œuvres de 17 artistes talentueux, venant de pays aussi variés que l'Argentine, le Pérou, le Chili, et le Maroc, cette exposition incarne la diversité et la convergence des cultures. Cet événement entre dans le cadre de la prestigieuse Biennale internationale d’art contemporain (Bienalsur), organisée par l’Université argentine « Tres de Febrero de Buenos Aires » en Argentine.
L’ouverture de cette exposition a eu lieu, mercredi 4 octobre, en présence de nombreux artistes originaires du Maroc, d’Argentine, du Chili, du Pérou, du Mexique, du Brésil et de Colombie, qui expriment de manière poétique la diversité de notre réalité contemporaine.
Ravi de l’immersion dans cette exposition artistique, le conservateur du musée national de la photographie, Soufiane Er-rahoui, s’est exprimé au micro de « L’Opinion » : « Je suis extrêmement enthousiaste de présenter à nos visiteurs cette magnifique exposition qui réunit une sélection d'artistes de haute qualité. À travers cette exposition, plusieurs thématiques captivantes émergent, telles que l'exploration de l'identité, les questionnements existentiels, la poésie de l'espace, et la quête d'une parenté entre les deux rives de l'Atlantique. Nous sommes convaincus que cette exposition offre une expérience artistique riche et diversifiée au public ».
À travers leurs perspectives entrelacées, le parcours de l'exposition illustre un échange visuel et conceptuel entre diverses cultures, invitant le public à explorer des espaces qui engagent avec l'immensité, la solitude, le vide, ainsi que les traces laissées par les communautés et l'influence mutuelle de ces éléments. Les thèmes du temps, des événements, de la mémoire, de l'Histoire, de l'identité et des imaginaires passés et présents sont abondamment explorés dans leurs créations.
Les visiteurs ont eu l'opportunité de parcourir ces œuvres, tissant des liens entre des continents lointains, et partageant des histoires, des points de vue, ainsi que des formes artistiques singulières.
Khalil Nemmaoui : Capturer l'âme du Maroc à travers les R12
Le photographe marocain Khalil Nemmaoui, auteur de photographies mettant en scène des voitures R12 dispersées dans le village de Sidi Mokhtar, partage l'histoire riche qui sous-tend son projet, évoquant une quête du passé, et une réminiscence des souvenirs d'enfance, comme en témoignent ses déclarations.
Pour lui, chaque image raconte une histoire de nostalgie, de passé révolu, et de souvenirs d'enfance qui se ravivent à chaque retour dans le village de Sidi Mokhtar. Ses photos capturent l'impact de la modernité sur les lieux et interrogent sur la présence persistante de ces R12, suscitant une question presque enfantine : "Pourquoi y a-t-il autant de R12 ici et pas ailleurs... ?".
Il explique que des souvenirs commençaient à refaire surface, qu'il se perdait dans de délicieuses réminiscences de son enfance. Il décide donc d'en savoir plus et de s'immerger dans le sujet. " J’ai voulu photographier ces voitures Renault 12 comme des portraits. Les sanctuariser, les monumentaliser pour rendre hommage a leur utilité presque publique et aussi rendre hommage a leurs propriétaires dans le hors champ ", explique-t-il.
Pour lui, chaque image raconte une histoire de nostalgie, de passé révolu, et de souvenirs d'enfance qui se ravivent à chaque retour dans le village de Sidi Mokhtar. Ses photos capturent l'impact de la modernité sur les lieux et interrogent sur la présence persistante de ces R12, suscitant une question presque enfantine : "Pourquoi y a-t-il autant de R12 ici et pas ailleurs... ?".
Il explique que des souvenirs commençaient à refaire surface, qu'il se perdait dans de délicieuses réminiscences de son enfance. Il décide donc d'en savoir plus et de s'immerger dans le sujet. " J’ai voulu photographier ces voitures Renault 12 comme des portraits. Les sanctuariser, les monumentaliser pour rendre hommage a leur utilité presque publique et aussi rendre hommage a leurs propriétaires dans le hors champ ", explique-t-il.