Ramadan est à nos portes. Ce mois sacré où des millions de fidèles se purifient le corps et l’esprit est également un baromètre de l’état d’esprit de la population. Car, si le Ramadan parvient à remplir certains cœurs de spiritualité, il ne manque pas d’être aussi le théâtre de tensions, de confrontations et de bagarres, sous la pression des migraines, de l’envie de fumer et du changement brusque de la routine quotidienne.
Et comme l’année dernière, la crise économique mondiale, conjuguée aux aléas climatiques, rend l’observance de ce mois encore plus éprouvante. Les prix de certaines denrées alimentaires, prisées par les Marocains en cette période, ont connu une hausse inattendue, obligeant les ménages de revoir leurs dépenses. Fini donc les achats excessifs et la consommation effrénée qui dépassent souvent les besoins quotidiens des pratiquants, surtout ceux issus des classes moyennes. Pour les moins fortunés, le menu des tables ramadanesques sera plus réduit que d’habitude. Heureusement, la solidarité et l’empathie qui caractérisent notre culture prennent une importance capitale dans de telles circonstances et offrent un rayon de lumière dans ces temps sombres. Les plus riches aident les démunis, les associations se mobilisent pour soutenir les personnes en besoin, les actions caritatives se multiplient… tel est l’esprit qui devrait primer pendant les 30 prochains jours.
Car le Ramadan reste LE mois de pardon, de miséricorde, de bénédiction, de purification et de bonnes actions. Une opportunité propice pour renouveler sa foi, développer sa conscience, améliorer son comportement et de ressourcer son âme.
Bien que les temps soient durs, il ne faut surtout pas succomber à la colère et à la frustration. Puissions-nous traverser ce mois sacré avec force, détermination et compassion, en nous rappelant toujours l’importance de l’unité et de l’entraide.
Et comme l’année dernière, la crise économique mondiale, conjuguée aux aléas climatiques, rend l’observance de ce mois encore plus éprouvante. Les prix de certaines denrées alimentaires, prisées par les Marocains en cette période, ont connu une hausse inattendue, obligeant les ménages de revoir leurs dépenses. Fini donc les achats excessifs et la consommation effrénée qui dépassent souvent les besoins quotidiens des pratiquants, surtout ceux issus des classes moyennes. Pour les moins fortunés, le menu des tables ramadanesques sera plus réduit que d’habitude. Heureusement, la solidarité et l’empathie qui caractérisent notre culture prennent une importance capitale dans de telles circonstances et offrent un rayon de lumière dans ces temps sombres. Les plus riches aident les démunis, les associations se mobilisent pour soutenir les personnes en besoin, les actions caritatives se multiplient… tel est l’esprit qui devrait primer pendant les 30 prochains jours.
Car le Ramadan reste LE mois de pardon, de miséricorde, de bénédiction, de purification et de bonnes actions. Une opportunité propice pour renouveler sa foi, développer sa conscience, améliorer son comportement et de ressourcer son âme.
Bien que les temps soient durs, il ne faut surtout pas succomber à la colère et à la frustration. Puissions-nous traverser ce mois sacré avec force, détermination et compassion, en nous rappelant toujours l’importance de l’unité et de l’entraide.