Le rapport de Guterres cite ainsi la lettre adressée le 14 mars 2022 à Sa Majesté le Roi Mohammed VI par le chef du gouvernement espagnol, faisant part de la position de l’Espagne sur cette question.
Le soutien apporté par l’Espagne à l’initiative d’autonomie est une reconnaissance de plus à la crédibilité de la proposition marocaine et le fait que celui-ci émane de l’Espagne, compte tenu de son rôle historique, en tant qu’ancienne puissance coloniale, en renforce le poids et la symbolique.
Le rapport se réfère aussi à la réaction de l’Algérie, qui en guise d’opposition à la décision, pourtant souveraine, de l’Espagne, a décidé de rappeler son ambassadeur de Madrid pour consultations, et recourt à ses tactiques d’intimidations habituelles, en suspendant le traité d’amitié, de voisinage et de coopération avec l’Espagne.
Similairement, le rapport du Secrétaire général de l'ONU fait part de la réaction virulente du "polisario" qui, suite à cette lettre, a décidé de suspendre ses contacts avec le gouvernement espagnol, mimant ainsi, son géniteur algérien.
Pourtant, la décision de l’Espagne qui s’inscrit dans la lignée de la très large reconnaissance internationale, de plus en plus croissante, des droits légitimes du Maroc sur son Sahara, ne fait que réaffirmer le réalisme, le pragmatisme et le sérieux de l’initiative marocaine d’autonomie, soutenue par le Conseil de sécurité et plus de 90 pays dans le monde, comme la base pour la résolution de ce différend régional.
Alger partie prenante du conflit
Dans ledit rapport, Antonio Guterres se réfère à l’Algérie, pour la énième fois, en tant que partie à ce différend artificiel autour du Sahara marocain. L’Algérie a été citée pas moins de 20 fois dans ce rapport.
Le Secrétaire général des Nations Unies a, en effet, souligné clairement que l’Algérie a un "rôle crucial dans la réalisation d’une solution politique pour la question du Sahara". De même, M. Guterres souligne la responsabilité de tous "les concernés" y compris l’Algérie pour la relance du processus politique.
Le rapport cite également la décision de l’Algérie de rappeler son ambassadeur à Madrid pour consultations et de suspendre le traité d'amitié, de bonne voisinage et de coopération avec l'Espagne, signé en 2002, pour la seule raison que ce pays a soutenu l’initiative d’autonomie marocaine.
Cette affirmation met fin, une fois pour toute, à la tentative de dissimulation de la partie algérienne derrière un pseudo statut d’"État observateur" et prouve sa responsabilité pleine et entière dans la création, le maintien et le règlement de ce différend.
Le Secrétaire général de l'ONU a, par ailleurs, pointé du doigt l’Algérie qui ne cesse de boycotter le processus des tables rondes. C’est aussi et surtout, une violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité y compris la 2602, qui établissent les tables rondes comme seul cadre pour le processus politique exclusivement onusien. Ces mêmes résolutions citent l’Algérie à cinq reprises et consacrent son rôle de partie prenante et l’appellent à participer au processus de tables rondes.
Le Secrétaire général des Nations Unies, au même titre que le Conseil de sécurité ne laissent plus aucun doute en ce qui concerne les responsabilités et les obligations de ce pays, en tant que partie principale, au différend régional autour du Sahara marocain, dès lors, tenu de participer au processus onusien des tables rondes pour aboutir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis, dont l’incarnation même est l’initiative marocaine d’autonomie.
Le soutien apporté par l’Espagne à l’initiative d’autonomie est une reconnaissance de plus à la crédibilité de la proposition marocaine et le fait que celui-ci émane de l’Espagne, compte tenu de son rôle historique, en tant qu’ancienne puissance coloniale, en renforce le poids et la symbolique.
Le rapport se réfère aussi à la réaction de l’Algérie, qui en guise d’opposition à la décision, pourtant souveraine, de l’Espagne, a décidé de rappeler son ambassadeur de Madrid pour consultations, et recourt à ses tactiques d’intimidations habituelles, en suspendant le traité d’amitié, de voisinage et de coopération avec l’Espagne.
Similairement, le rapport du Secrétaire général de l'ONU fait part de la réaction virulente du "polisario" qui, suite à cette lettre, a décidé de suspendre ses contacts avec le gouvernement espagnol, mimant ainsi, son géniteur algérien.
Pourtant, la décision de l’Espagne qui s’inscrit dans la lignée de la très large reconnaissance internationale, de plus en plus croissante, des droits légitimes du Maroc sur son Sahara, ne fait que réaffirmer le réalisme, le pragmatisme et le sérieux de l’initiative marocaine d’autonomie, soutenue par le Conseil de sécurité et plus de 90 pays dans le monde, comme la base pour la résolution de ce différend régional.
Alger partie prenante du conflit
Dans ledit rapport, Antonio Guterres se réfère à l’Algérie, pour la énième fois, en tant que partie à ce différend artificiel autour du Sahara marocain. L’Algérie a été citée pas moins de 20 fois dans ce rapport.
Le Secrétaire général des Nations Unies a, en effet, souligné clairement que l’Algérie a un "rôle crucial dans la réalisation d’une solution politique pour la question du Sahara". De même, M. Guterres souligne la responsabilité de tous "les concernés" y compris l’Algérie pour la relance du processus politique.
Le rapport cite également la décision de l’Algérie de rappeler son ambassadeur à Madrid pour consultations et de suspendre le traité d'amitié, de bonne voisinage et de coopération avec l'Espagne, signé en 2002, pour la seule raison que ce pays a soutenu l’initiative d’autonomie marocaine.
Cette affirmation met fin, une fois pour toute, à la tentative de dissimulation de la partie algérienne derrière un pseudo statut d’"État observateur" et prouve sa responsabilité pleine et entière dans la création, le maintien et le règlement de ce différend.
Le Secrétaire général de l'ONU a, par ailleurs, pointé du doigt l’Algérie qui ne cesse de boycotter le processus des tables rondes. C’est aussi et surtout, une violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité y compris la 2602, qui établissent les tables rondes comme seul cadre pour le processus politique exclusivement onusien. Ces mêmes résolutions citent l’Algérie à cinq reprises et consacrent son rôle de partie prenante et l’appellent à participer au processus de tables rondes.
Le Secrétaire général des Nations Unies, au même titre que le Conseil de sécurité ne laissent plus aucun doute en ce qui concerne les responsabilités et les obligations de ce pays, en tant que partie principale, au différend régional autour du Sahara marocain, dès lors, tenu de participer au processus onusien des tables rondes pour aboutir à une solution politique, réaliste, pragmatique, durable et de compromis, dont l’incarnation même est l’initiative marocaine d’autonomie.