Aux premières heures de ce jeudi 29 février, plusieurs supports médiatiques ont annoncé que selon Samir Machour, senior vice-président de Samsung Biologics, le Maroc devrait recevoir très prochainement 18,5 millions de doses dont 13 millions d’AstraZeneca et 5,5 du vaccin russe .
Contacté par L’Opinion, Machour nous confie que « cette information est fausse et ne reflète nullement ce que j’ai écrit sur ma page Facebook », précisant qu'il avait mentionné : « Nous DEVIONS recevoir, fin avril ou début mai au plus tard, 13 millions de doses du vaccin AstraZeneca, fabriquées en Inde par SII et 5.5 Million de doses fabriquées en Russie par R-Pharm ».
« Je pense que certaines personnes ont cru lire, ‘’nous allons’’ au lieu de ‘’nous devions’’ », a-t-il poursuivi, ajoutant leur « accorder le bénéfice du doute ».
Que ce soit par maladresse ou malhonnêteté, ce genre de fausses informations « met l’Etat dans une position difficile, et va à l’encontre de tous les efforts incommensurables de plusieurs responsables qui font tout le nécessaire pour réceptionner le maximum de doses pour que la campagne de vaccination ne s’arrête pas », a-t-il expliqué.
Une telle information, selon Machour, risque de freiner l’arrivée de nouvelles doses, du fait que « des pays producteurs ou encore l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pourrait penser que cette information est vraie, et par ricochet ne pas faire du Maroc une priorité », explique-t-il.
Contacté par L’Opinion, Machour nous confie que « cette information est fausse et ne reflète nullement ce que j’ai écrit sur ma page Facebook », précisant qu'il avait mentionné : « Nous DEVIONS recevoir, fin avril ou début mai au plus tard, 13 millions de doses du vaccin AstraZeneca, fabriquées en Inde par SII et 5.5 Million de doses fabriquées en Russie par R-Pharm ».
« Je pense que certaines personnes ont cru lire, ‘’nous allons’’ au lieu de ‘’nous devions’’ », a-t-il poursuivi, ajoutant leur « accorder le bénéfice du doute ».
Que ce soit par maladresse ou malhonnêteté, ce genre de fausses informations « met l’Etat dans une position difficile, et va à l’encontre de tous les efforts incommensurables de plusieurs responsables qui font tout le nécessaire pour réceptionner le maximum de doses pour que la campagne de vaccination ne s’arrête pas », a-t-il expliqué.
Une telle information, selon Machour, risque de freiner l’arrivée de nouvelles doses, du fait que « des pays producteurs ou encore l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pourrait penser que cette information est vraie, et par ricochet ne pas faire du Maroc une priorité », explique-t-il.