4190 est le nombre des magistrats au Maroc, un effectif jugé faible par rapport aux besoins.
Attendu ce mardi à la Commission de la Justice à la Chambre des Représentants, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, s’apprête à plaider une nouvelle fois sa réforme du Code de Procédure pénale devant les députés.
Convaincu du bien-fondé de son texte, le ministre appelle à une lecture purement juridique au-delà des considérations politiciennes au moment où le débat prend une tournure politique. Entretemps, les avocats dévoilent leurs doléances. Même si la réforme leur donne de nouvelles prérogatives, les robes noires réclament plus de garanties à la défense face au parquet, à commencer par la garde à vue.
Jusqu’à présent, ce sujet accapare le débat, la question des moyens de la Justice semble étonnamment reléguée au second plan, alors même que le manque d’effectif de juges et la saturation de l’administration pénitentiaire pénalisent le système judiciaire. Décryptage.
Convaincu du bien-fondé de son texte, le ministre appelle à une lecture purement juridique au-delà des considérations politiciennes au moment où le débat prend une tournure politique. Entretemps, les avocats dévoilent leurs doléances. Même si la réforme leur donne de nouvelles prérogatives, les robes noires réclament plus de garanties à la défense face au parquet, à commencer par la garde à vue.
Jusqu’à présent, ce sujet accapare le débat, la question des moyens de la Justice semble étonnamment reléguée au second plan, alors même que le manque d’effectif de juges et la saturation de l’administration pénitentiaire pénalisent le système judiciaire. Décryptage.
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