Moulay Hafid Elalamy, Ministre de l'Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l'Economie verte et numérique.
Le ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Economie verte et numérique a annoncé le lancement d’une offre de conseil et d’expertise technique au profit des TPME industrielles, afin de les accompagner dans la gestion des difficultés induites par la Covid-19 et les aider à préparer des plans de relance.
«Les TPME peuvent bénéficier, à travers Maroc PME, d’une prise en charge de 80% du coût de l’accompagnement par une expertise spécialisée à l’élaboration et au déploiement de leur plan de continuité et de relance», précise le ministère dans un communiqué. Et d’ajouter que cette offre permettra aux TPME de faire face à l'impact de la crise COVID 19, tant au niveau de la continuité des activités que de la préservation de la sécurité et de la santé des ressources humaines.
L’offre a également l’avantage de permettre aux TPME bénéficiaires d’envisager les meilleurs choix de repositionnement stratégique et de relance d’activité. L’accompagnement visé par cette offre porte sur six axes : la préparation des plans de gestion de la crise et de relance, la gestion des liquidités et du financement et l’accompagnement du dirigeant et des ressources humaines, la sécurisation et le développement des ventes, l’optimisation de la production et de la supply chain et la transformation numérique de l'entreprise, ajoute le communiqué, indiquant que les entreprises intéressées sont invitées à renseigner le formulaire sur le site de Maroc PME.
Pour rappel, plusieurs associations, syndicats et fédérations représentant les TPME marocaines, expriment leurs inquiétudes concernant l’avenir de ces dernières durant la phase post-crise. La dernière en date est la Confédération marocaine des métiers de bouche (CMMB), qui a appelé à la mise en place de « solutions urgentes » pour sauver cette catégorie d’entreprises dévastée par la crise.
Dans un communiqué, la Confédération avait indiqué que «qu’une menace réelle commence à peser de tout son poids sur les entreprises des métiers de bouche, en particulier les PME et TPE, et même les secteurs de la pâtisserie et de la boulangerie connaissent, contrairement à ce que l’on pourrait penser, une chute drastique de leur chiffre d’affaires, évaluée pour l’instant à 50%».
«Les TPME peuvent bénéficier, à travers Maroc PME, d’une prise en charge de 80% du coût de l’accompagnement par une expertise spécialisée à l’élaboration et au déploiement de leur plan de continuité et de relance», précise le ministère dans un communiqué. Et d’ajouter que cette offre permettra aux TPME de faire face à l'impact de la crise COVID 19, tant au niveau de la continuité des activités que de la préservation de la sécurité et de la santé des ressources humaines.
L’offre a également l’avantage de permettre aux TPME bénéficiaires d’envisager les meilleurs choix de repositionnement stratégique et de relance d’activité. L’accompagnement visé par cette offre porte sur six axes : la préparation des plans de gestion de la crise et de relance, la gestion des liquidités et du financement et l’accompagnement du dirigeant et des ressources humaines, la sécurisation et le développement des ventes, l’optimisation de la production et de la supply chain et la transformation numérique de l'entreprise, ajoute le communiqué, indiquant que les entreprises intéressées sont invitées à renseigner le formulaire sur le site de Maroc PME.
Pour rappel, plusieurs associations, syndicats et fédérations représentant les TPME marocaines, expriment leurs inquiétudes concernant l’avenir de ces dernières durant la phase post-crise. La dernière en date est la Confédération marocaine des métiers de bouche (CMMB), qui a appelé à la mise en place de « solutions urgentes » pour sauver cette catégorie d’entreprises dévastée par la crise.
Dans un communiqué, la Confédération avait indiqué que «qu’une menace réelle commence à peser de tout son poids sur les entreprises des métiers de bouche, en particulier les PME et TPE, et même les secteurs de la pâtisserie et de la boulangerie connaissent, contrairement à ce que l’on pourrait penser, une chute drastique de leur chiffre d’affaires, évaluée pour l’instant à 50%».