Une autre année s’en va avec ses souvenirs, ses joies, ses déceptions. Une année marquée par la domination de ce maudit virus et de sa « famille » qui ont installé un climat d’appréhension de doute, d’attente, d’espoirs de réclusion de distanciation sur la planète entière…Bref, un climat nauséabond dont ont souffert, l’économie, le sport, la société… En sus des collectivités et des personnes.
C’est dans ce climat malsain que se sont déroulés des compétitions planétaires telles les Jeux Olympiques que le Japon a abrités, Coupe d’Europe, Coupe Arabe ou encore des Jeux continentaux telles les rencontres européennes ou africaines de football, ou encore les matches de la Coupe arabe des clubs champions (une prestigieuse compétition rehaussée par le nom prestigieux de notre Roi Mohammed VI). Le trophée qui a fini sa course dans l’escarcelle du club marocain, le Raja qui a pris le meilleur sur son homologue saoudien, Al Ahly, grâce aux tirs aux buts. Un titre tant convoité par les prestigieuses formations arabes.
Dans un climat anxiogène, les organisateurs de n’importe quelle compétition se sont fait un devoir de « bien » l’organiser pour faire un peu oublier aux populations, par le biais du sport, cette atmosphère angoissant qui a enveloppé jusqu’au quotidien de ces populations 2 années durant… et ça continue !
Même si les compétitions n’avaient pas revêtu leur caractère « ordinaire », il n’en demeure pas moins que leur organisation avait quelque peu allégé cette atmosphère de malaise qui a pénétré jusqu’au fin fond des foyers.
Cette année 2021 avait, en dépit de ce marasme, apporté joie et déceptions aux différents acteurs marocains qui n’avaient pas grand-chose à se mettre sous la dent en matière d’élection d’athlètes, sportif de l’année.
Le seul qui a su insufflé de la joie voire de la satisfaction est incontestablement Soufiane Bakkali avec sa médaille d’or aux 3000m steeple remportée lors des Jeux Olympiques. Bakkali a su faire oublier, le temps d’une course, les résultats catastrophiques que le sport marocain a moissonnés durant ces Jeux. Soufiane qui a illuminé de sa belle foulée leste et gracieuse, la course avait monopolisé l’attention de tout un peuple comme le faisait jadis le légendaire Saïd Aouita.
Après la prouesse de Bakkali, le public marocain sera surpris par ces représentants du handisport qui vont faire, infiniment, mieux que leurs compatriotes valides. Nos paralympiques apporteront plus de crédit au compteur du sport marocain. Ils feront retentir « Manbita Al Ahrare » à quatre reprises à l’occasion des médailles d’or remporté haut la main par Amine Chentouf (classe T12 déficience visuelle) au marathon avec à la clé un nouveau record paralympique, Abdeslam Hili, Zakaria Derham et Ayoub Sadni. Attendez ce n’est pas fini. Quatre autres médailles, d’argent cette fois, épinglées par Fouzia Ksioui, Yousra Karim, Mohamed Amgoune et Azzeddine Nouiri. Le bronze reviendra à la célèbre Hayat El Garaâ, Saïda Amoudi et l’équipe nationale de Cécifoot qui a sorti l’Espagne et l’Argentine avant de s’incliner devant le Brésil. Une belle moisson de 11 médailles.
Pour ce qui est du foot, la palme revient sans équivoque à l’équipe nationale « A » qualifiée à la CAN, le trophée du CHAN remporté par l’équipe nationale des locaux emmenée par Houcine Ammouta. Ce dernier qui a su remanier le « Club Maroc » qui s’installe, cette fois, sur le toit de l’Afrique avec un record en bonus, celui d’un second titre remporté d’affilée.
Dans la même lignée, l’équipe nationale du futsal, coachée par Hicham Dguig, s’est adjugée le trophée de la coupe arabe.
Cette formation qui, après avoir remporté le trophée africain et arabe, est venue illuminer de sa performance le futsal marocain, arabe et africain après avoir fait grosse impression en dominant plusieurs sélections avant de se heurter au champion du monde le Brésil, lors de la coupe du monde de cette discipline, et aussi aux Aigles Verts du Raja qui ont réussi à décrocher le titre de Champion de la Confédération Africaine de football (CAF) peu de temps avant de terrasser le célèbre club saoudien Al Ahly dans une finale palpitante de la Coupe arabe Mohammed VI des clubs champions clôturée aux coups de pied arrêtés.
Toujours en football, on ne peut pas laisser passer inaperçu la qualification historique de l’équipe nationale des amputés à la Coupe du monde de football qui aura lieu l’année prochaine en Turquie. Qualification obtenue lors de la CAN organisée en Tanzanie du 27 novembre au 5 décembre où notre équipe nationale des amputés y a pris part pour la première fois.
Ces braves « guerriers » vont compléter cette liste très réduite de ceux, clubs ou personnes, qui ont introduit de la joie et de l’espoir au moment où le sport marocain ne demandait qu’à être heureux.
Après la prouesse de Bakkali, le public marocain sera surpris par ces représentants du handisport qui vont faire, infiniment, mieux que leurs compatriotes valides. Nos paralympiques apporteront plus de crédit au compteur du sport marocain. Ils feront retentir « Manbita Al Ahrare » à quatre reprises à l’occasion des médailles d’or remporté haut la main par Amine Chentouf (classe T12 déficience visuelle) au marathon avec à la clé un nouveau record paralympique, Abdeslam Hili, Zakaria Derham et Ayoub Sadni. Attendez ce n’est pas fini. Quatre autres médailles, d’argent cette fois, épinglées par Fouzia Ksioui, Yousra Karim, Mohamed Amgoune et Azzeddine Nouiri. Le bronze reviendra à la célèbre Hayat El Garaâ, Saïda Amoudi et l’équipe nationale de Cécifoot qui a sorti l’Espagne et l’Argentine avant de s’incliner devant le Brésil. Une belle moisson de 11 médailles.
Pour ce qui est du foot, la palme revient sans équivoque à l’équipe nationale « A » qualifiée à la CAN, le trophée du CHAN remporté par l’équipe nationale des locaux emmenée par Houcine Ammouta. Ce dernier qui a su remanier le « Club Maroc » qui s’installe, cette fois, sur le toit de l’Afrique avec un record en bonus, celui d’un second titre remporté d’affilée.
Pour ce qui est du foot, la palme revient sans équivoque à l’équipe nationale « A » qualifiée à la CAN, le trophée du CHAN remporté par l’équipe nationale des locaux emmenée par Houcine Ammouta. Ce dernier qui a su remanier le « Club Maroc » qui s’installe, cette fois, sur le toit de l’Afrique avec un record en bonus, celui d’un second titre remporté d’affilée.
Dans la même lignée, l’équipe nationale du futsal, coachée par Hicham Dguig, s’est adjugée le trophée de la coupe arabe.
Cette formation qui, après avoir remporté le trophée africain et arabe, est venue illuminer de sa performance le futsal marocain, arabe et africain après avoir fait grosse impression en dominant plusieurs sélections avant de se heurter au champion du monde le Brésil, lors de la coupe du monde de cette discipline, et aussi aux Aigles Verts du Raja qui ont réussi à décrocher le titre de Champion de la Confédération Africaine de football (CAF) peu de temps avant de terrasser le célèbre club saoudien Al Ahly dans une finale palpitante de la Coupe arabe Mohammed VI des clubs champions clôturée aux coups de pied arrêtés.
Toujours en football, on ne peut pas laisser passer inaperçu la qualification historique de l’équipe nationale des amputés à la Coupe du monde de football qui aura lieu l’année prochaine en Turquie. Qualification obtenue lors de la CAN organisée en Tanzanie du 27 novembre au 5 décembre où notre équipe nationale des amputés y a pris part pour la première fois.
Ces braves « guerriers » vont compléter cette liste très réduite de ceux, clubs ou personnes, qui ont introduit de la joie et de l’espoir au moment où le sport marocain ne demandait qu’à être heureux.