Jeudi matin, les quatre principaux syndicats du secteur de l'éducation, dont l'UGTM, ont organisé un sit-in devant le siège du ministère de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports pour faire pression sur le ministre Benmoussa. Ils ont exigé une solution conforme aux revendications des fonctionnaires de l'éducation.
Youssef ALLAKOUCH, Secrétaire général de la Fédération Autonome de l'Enseignement de l'Union Générale des Travailleurs du Maroc, a déclaré à L’Opinion que « les revendications sont clairement définies, et il incombe maintenant au ministère de répondre positivement compte tenu de la légitimité des demandes des fonctionnaires ».
Il a souligné ainsi que « les syndicats prennent ce dialogue social très au sérieux et attendent une réponse favorable du ministère. Il a également noté que les manifestations dans la rue sont le moyen pour les enseignants de se faire entendre, car les tables rondes ne suffisent plus ».
Rappelons que le Statut unifié a fait l'objet de plusieurs réunions entre le ministère de tutelle et les centrales syndicales les plus représentatives. Les discussions ont démarré dès le mois de février sur la base des principes généraux de l'accord du 14 janvier qui est le cadre de référence. Le Département de Chakib Benmoussa affirme avoir respecté tous ses engagements en apportant un texte contenant plusieurs avantages, tels que les primes annuelles, l'abrogation des douze statuts des enseignants cadres des AREF et l'amélioration des perspectives de carrière et de promotion pour les enseignants ainsi que la mise en place du grade d'excellence. Pour leur part, les syndicats estiment que le texte, tel qu'adopté par le gouvernement, ne reflète pas les engagements pris par le ministère de tutelle et exigent sa révision.
Au moment où la confusion règne, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, est entré en ligne, en rassemblant les syndicats et les départements ministériels concernés, lors d'une réunion tenue lundi. Les discussions ont porté sur la possibilité d'apporter des améliorations au nouveau Statut.
Youssef ALLAKOUCH, Secrétaire général de la Fédération Autonome de l'Enseignement de l'Union Générale des Travailleurs du Maroc, a déclaré à L’Opinion que « les revendications sont clairement définies, et il incombe maintenant au ministère de répondre positivement compte tenu de la légitimité des demandes des fonctionnaires ».
Il a souligné ainsi que « les syndicats prennent ce dialogue social très au sérieux et attendent une réponse favorable du ministère. Il a également noté que les manifestations dans la rue sont le moyen pour les enseignants de se faire entendre, car les tables rondes ne suffisent plus ».
Rappelons que le Statut unifié a fait l'objet de plusieurs réunions entre le ministère de tutelle et les centrales syndicales les plus représentatives. Les discussions ont démarré dès le mois de février sur la base des principes généraux de l'accord du 14 janvier qui est le cadre de référence. Le Département de Chakib Benmoussa affirme avoir respecté tous ses engagements en apportant un texte contenant plusieurs avantages, tels que les primes annuelles, l'abrogation des douze statuts des enseignants cadres des AREF et l'amélioration des perspectives de carrière et de promotion pour les enseignants ainsi que la mise en place du grade d'excellence. Pour leur part, les syndicats estiment que le texte, tel qu'adopté par le gouvernement, ne reflète pas les engagements pris par le ministère de tutelle et exigent sa révision.
Au moment où la confusion règne, le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, est entré en ligne, en rassemblant les syndicats et les départements ministériels concernés, lors d'une réunion tenue lundi. Les discussions ont porté sur la possibilité d'apporter des améliorations au nouveau Statut.