Lors d'une conférence de presse, l'Union européenne a exhorté l'Algérie et le Maroc à trouver une solution à la situation actuelle entre les deux pays, suite à la décision unilatérale de l'Algérie de rompre les relations diplomatiques avec son voisin.
Le porte-parole de la Commission européenne pour les Affaires étrangères, Peter Stano a exprimé le souhait de l'UE « d'une solution diplomatique et durable" qui résoudra la situation actuelle et qui sera réalisée rapidement et dans l'intérêt des deux pays,et toute la région méditerranéenne.
" L’UE est prête à aider, soutenir et assister ses partenaires si cela lui est demandé pour parvenir à une solution à tout différend", a déclaré le porte-parole lors de ladite conférence.
Outre l'offre de médiation, Stano ajoute que l'UE est prête à "assister les deux pays dans tous leurs efforts pour trouver une solution diplomatique et durable ".
Alger a annoncé mardi 24 août la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc, citant un certain nombre de facteurs dans sa décision.
Dans sa déclaration contre le Maroc, le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a eu recours à un discours accusateur imprégné de victimisation, à commencer par ce qu'il a qualifié d'"attaques marocaines historiques" depuis l'indépendance de son pays, pour citer une théorie du complot accusant le Maroc des récents incendies de forêt qui ont ravagé son pays.
Cette décision intervient après que l'Algérie a rappelé son ambassadeur pour consultations en juillet, après que le représentant du Maroc auprès de l'ONU, Omar Hillale, avait parlé du peuple kabyle en Algérie.
Le gouvernement algérien a également accusé le Maroc d'avoir prétendument soutenu des organisations répertoriées comme groupes terroristes par le gouvernement algérien et a invoqué des allégations d'espionnage à l'aide du logiciel Pegasus.
Le Maroc a répondu en qualifiant la décision d'injustifiée mais attendue au vu de l'escalade observée ces dernières semaines. Le royaume a d'ailleurs rejeté « catégoriquement » les « prétextes fallacieux, voire absurdes, sous-jacents à la décision d'Alger.
En effet, après avoir rejeté les appels, à maintes reprises, du Maroc à travailler ensemble pour construire un Maghreb plus fort, les accusations infondées de l'Algérie et la décision ultérieure de rompre les liens avec le Maroc ont décrédibilisé sa voix dans la région, en Afrique et sur la scène internationale.
Le porte-parole de la Commission européenne pour les Affaires étrangères, Peter Stano a exprimé le souhait de l'UE « d'une solution diplomatique et durable" qui résoudra la situation actuelle et qui sera réalisée rapidement et dans l'intérêt des deux pays,et toute la région méditerranéenne.
" L’UE est prête à aider, soutenir et assister ses partenaires si cela lui est demandé pour parvenir à une solution à tout différend", a déclaré le porte-parole lors de ladite conférence.
Outre l'offre de médiation, Stano ajoute que l'UE est prête à "assister les deux pays dans tous leurs efforts pour trouver une solution diplomatique et durable ".
Alger a annoncé mardi 24 août la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc, citant un certain nombre de facteurs dans sa décision.
Dans sa déclaration contre le Maroc, le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a eu recours à un discours accusateur imprégné de victimisation, à commencer par ce qu'il a qualifié d'"attaques marocaines historiques" depuis l'indépendance de son pays, pour citer une théorie du complot accusant le Maroc des récents incendies de forêt qui ont ravagé son pays.
Cette décision intervient après que l'Algérie a rappelé son ambassadeur pour consultations en juillet, après que le représentant du Maroc auprès de l'ONU, Omar Hillale, avait parlé du peuple kabyle en Algérie.
Le gouvernement algérien a également accusé le Maroc d'avoir prétendument soutenu des organisations répertoriées comme groupes terroristes par le gouvernement algérien et a invoqué des allégations d'espionnage à l'aide du logiciel Pegasus.
Le Maroc a répondu en qualifiant la décision d'injustifiée mais attendue au vu de l'escalade observée ces dernières semaines. Le royaume a d'ailleurs rejeté « catégoriquement » les « prétextes fallacieux, voire absurdes, sous-jacents à la décision d'Alger.
En effet, après avoir rejeté les appels, à maintes reprises, du Maroc à travailler ensemble pour construire un Maghreb plus fort, les accusations infondées de l'Algérie et la décision ultérieure de rompre les liens avec le Maroc ont décrédibilisé sa voix dans la région, en Afrique et sur la scène internationale.