Ces membres ont exprimé, encore une fois, leur appui à l’initiative d’autonomie comme solution au conflit artificiel autour de la question du Sahara.
Les parlementaires appellent, via cette déclaration-pétition, à « promouvoir la paix et la stabilité, et à considérer le dialogue civilisé comme étant le meilleur moyen de parvenir au consensus nécessaire conduisant à un climat de paix réelle et durable ».
Par la même occasion, le document rappelle que l’Assemblée générale du Parlement andin avait tenu une session dans la ville de Laâyoune au Sahara marocain, le 4 juillet 2022, avec la participation du parlement marocain au cours de laquelle a été adoptée une position favorable au dialogue politique et à la coopération parlementaire.
La pétition rappelle, dans ce contexte, la dernière Résolution officielle adoptée par le Parlement andin le 27 octobre 2022 à Bucaramanga, en Colombie, où une majorité de ses membres a voté en faveur d'une Résolution soutenant la souveraineté politique, l'unité et l'intégrité territoriale des États souverains reconnus par les Nations Unies, exprimant son soutien au plan d'autonomie marocain comme solution réaliste, sérieuse et crédible à ce différend.
Dans la même veine, la pétition exhorte le président du Parlement andin à respecter les termes de l'accord conclu avec le Parlement marocain et suggère d’inviter des délégués marocains aux réunions de l'Assemblée générale, comme cela a toujours été la pratique sous les précédents présidents du Parlement andin, et ce, depuis que le Maroc a rejoint le Parlement andin en tant que membre observateur et partenaire au statut avancé.
A contrario de ce climat serein, précise-t-on, la présidente actuelle avait tenté d’induire en erreur les participants à la récente 17ème réunion de l'Union des Conseils des États membres de l'Organisation de la Coopération Islamique, organisée en Algérie, en affirmant que le parlement andin soutenait l’option illusoire du pays hôte de la réunion, vrai manipulateur de l’autoproclamée RASD.
Cette pétition est intervenue après le communiqué de la Commission de politique étrangère, des relations internationales et de la diplomatie parlementaire du Parlement andin, venu « mettre à nu les tentatives désespérées de la présidente et prouver qu’elle s’exprime au nom d’une minorité de membres ».
Rappelons-le, le parlement andin avait exprimé un désaveu cinglant via un communiqué, suite aux propos proférés par sa présidente, en tant qu’invitée, lors de la 17ème Conférence de l'Union parlementaire des Etats membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (UPCI), tenue du 26 au 30 janvier en Algérie.
Les parlementaires appellent, via cette déclaration-pétition, à « promouvoir la paix et la stabilité, et à considérer le dialogue civilisé comme étant le meilleur moyen de parvenir au consensus nécessaire conduisant à un climat de paix réelle et durable ».
Par la même occasion, le document rappelle que l’Assemblée générale du Parlement andin avait tenu une session dans la ville de Laâyoune au Sahara marocain, le 4 juillet 2022, avec la participation du parlement marocain au cours de laquelle a été adoptée une position favorable au dialogue politique et à la coopération parlementaire.
La pétition rappelle, dans ce contexte, la dernière Résolution officielle adoptée par le Parlement andin le 27 octobre 2022 à Bucaramanga, en Colombie, où une majorité de ses membres a voté en faveur d'une Résolution soutenant la souveraineté politique, l'unité et l'intégrité territoriale des États souverains reconnus par les Nations Unies, exprimant son soutien au plan d'autonomie marocain comme solution réaliste, sérieuse et crédible à ce différend.
Dans la même veine, la pétition exhorte le président du Parlement andin à respecter les termes de l'accord conclu avec le Parlement marocain et suggère d’inviter des délégués marocains aux réunions de l'Assemblée générale, comme cela a toujours été la pratique sous les précédents présidents du Parlement andin, et ce, depuis que le Maroc a rejoint le Parlement andin en tant que membre observateur et partenaire au statut avancé.
A contrario de ce climat serein, précise-t-on, la présidente actuelle avait tenté d’induire en erreur les participants à la récente 17ème réunion de l'Union des Conseils des États membres de l'Organisation de la Coopération Islamique, organisée en Algérie, en affirmant que le parlement andin soutenait l’option illusoire du pays hôte de la réunion, vrai manipulateur de l’autoproclamée RASD.
Cette pétition est intervenue après le communiqué de la Commission de politique étrangère, des relations internationales et de la diplomatie parlementaire du Parlement andin, venu « mettre à nu les tentatives désespérées de la présidente et prouver qu’elle s’exprime au nom d’une minorité de membres ».
Rappelons-le, le parlement andin avait exprimé un désaveu cinglant via un communiqué, suite aux propos proférés par sa présidente, en tant qu’invitée, lors de la 17ème Conférence de l'Union parlementaire des Etats membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (UPCI), tenue du 26 au 30 janvier en Algérie.