L’ambassade du Maroc en Afrique du Sud multiplie les initiatives de promotion de la cause nationale. Dans le cadre de sa campagne de communication intitulée « Entre mythes et réalités : comprendre le différend régional autour Sahara marocain », l’ambassade a diffusé sa 37ème séquence vidéo contenant une série de 8 capsules qui déclinent les vérités historiques, les pertinences politiques et les engagements diplomatiques que cristallise « un dossier » perçu par les ennemis de notre intégrité territoriale à travers le prisme persistant d’une idéologie rampante et dépassée.
Youssef Amrani, ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, a réfuté la thèse qui se réfère au Sahara marocain comme la « dernière colonie africaine », déconstruisant ainsi les interprétations idéologiques, infondées, autour de ce différend artificiel.
Concernant l’appel au référendum qui sert de prétexte à la thèse séparatiste, M. Amrani a souligné d’emblée qu’à la suite de la reconnaissance de l’inapplicabilité de l’option référendaire par l’ancien Secrétaire général de l’Onu, Kofi Annan, le Conseil de sécurité des Nations Unies avait appelé les parties à trouver une solution politique au différend régional.
Dans ce sens, l’ambassadeur a rappelé les efforts qu’a fournis le Maroc en vue de résoudre ce problème en évoquant l’Initiative d'autonomie proposé en 2007, laquelle reste approuvée et soutenue par une écrasante majorité de pays africains et internationaux et demeure la seule proposition sur la table. En effet, les 16 résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU ont toutes soutenu l'approche marocaine en soulignant la prééminence de l’Initiative, son sérieux et sa crédibilité.
Par ailleurs, le conflit autour du Sahara marocain est toujours soumis à la compétence exclusive du Conseil de sécurité, qui seul peut le trancher. Ainsi, M. Amrani a précisé que l’Union Africaine a reconnu la compétence exclusive de l’ONU dans le processus de règlement de ce conflit, selon la décision 693 du Sommet de l’Union Africaine, tenu à Nouakchott en juillet 2018.
Cette approche est aujourd’hui consacrée par une dynamique onusienne appelant toutes les parties, à savoir le Maroc, l'Algérie, la Mauritanie et le mouvement séparatiste du Polisario, à poursuivre les pourparlers dans le cadre des tables rondes de Genève, afin de parvenir à une solution politique durable, a conclu l’ambassadeur.
Youssef Amrani, ambassadeur du Maroc en Afrique du Sud, a réfuté la thèse qui se réfère au Sahara marocain comme la « dernière colonie africaine », déconstruisant ainsi les interprétations idéologiques, infondées, autour de ce différend artificiel.
Concernant l’appel au référendum qui sert de prétexte à la thèse séparatiste, M. Amrani a souligné d’emblée qu’à la suite de la reconnaissance de l’inapplicabilité de l’option référendaire par l’ancien Secrétaire général de l’Onu, Kofi Annan, le Conseil de sécurité des Nations Unies avait appelé les parties à trouver une solution politique au différend régional.
Dans ce sens, l’ambassadeur a rappelé les efforts qu’a fournis le Maroc en vue de résoudre ce problème en évoquant l’Initiative d'autonomie proposé en 2007, laquelle reste approuvée et soutenue par une écrasante majorité de pays africains et internationaux et demeure la seule proposition sur la table. En effet, les 16 résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU ont toutes soutenu l'approche marocaine en soulignant la prééminence de l’Initiative, son sérieux et sa crédibilité.
Par ailleurs, le conflit autour du Sahara marocain est toujours soumis à la compétence exclusive du Conseil de sécurité, qui seul peut le trancher. Ainsi, M. Amrani a précisé que l’Union Africaine a reconnu la compétence exclusive de l’ONU dans le processus de règlement de ce conflit, selon la décision 693 du Sommet de l’Union Africaine, tenu à Nouakchott en juillet 2018.
Cette approche est aujourd’hui consacrée par une dynamique onusienne appelant toutes les parties, à savoir le Maroc, l'Algérie, la Mauritanie et le mouvement séparatiste du Polisario, à poursuivre les pourparlers dans le cadre des tables rondes de Genève, afin de parvenir à une solution politique durable, a conclu l’ambassadeur.