La zone frontière entre Fnideq et la ville occupée de Sebta, a connu dans la nuit du 28 au 29 septembre une tentative d’assaut menée par une centaine de jeunes et de mineurs. Un mouvement qui a été stoppé par les forces de sécurité marocaines stationnées dans la zone frontalière. Cette tentative qui rappelle les événements du 18 et 19 mars derniers a également suscité un déploiement de force de l’autre côté de la frontière.
Des hélicoptères de la Guardia Civil espagnols ont été aperçus survolant la frontière de Tarajal, alors que des forces anti-émeutes des différents services de police ce sont rapidement positionnées à proximité de la barrière de séparation entre Fnideq et la ville occupée. Un dispositif qui n’a finalement pas eu à intervenir, suite à l’intervention des forces de sécurité marocaines qui ont dispersé les jeunes et ont réussies à les tenir à distance de la zone frontalière.
Cette nouvelle tentative d’assaut vient remettre au-devant de la scène, la profonde crise socio-économique que traverse la zone, depuis la fermeture du passage frontalier et l’arrêt de la contrebande décidé par les autorités en 2019. S’y ajoutent les effets de la pandémie qui ont accentués la détérioration du pouvoir d’achat et les niveaux de pauvreté de la région, notamment à Fnideq.
La ville frontalière a rappelons-le été secouée en février dernier par une série de sit-in et manifestations pour dénoncer la détérioration de ses conditions économiques. Face à la pression des manifestants, les autorités régionales avaient annoncé la mise en place de mesures de relance économiques.
Des hélicoptères de la Guardia Civil espagnols ont été aperçus survolant la frontière de Tarajal, alors que des forces anti-émeutes des différents services de police ce sont rapidement positionnées à proximité de la barrière de séparation entre Fnideq et la ville occupée. Un dispositif qui n’a finalement pas eu à intervenir, suite à l’intervention des forces de sécurité marocaines qui ont dispersé les jeunes et ont réussies à les tenir à distance de la zone frontalière.
Cette nouvelle tentative d’assaut vient remettre au-devant de la scène, la profonde crise socio-économique que traverse la zone, depuis la fermeture du passage frontalier et l’arrêt de la contrebande décidé par les autorités en 2019. S’y ajoutent les effets de la pandémie qui ont accentués la détérioration du pouvoir d’achat et les niveaux de pauvreté de la région, notamment à Fnideq.
La ville frontalière a rappelons-le été secouée en février dernier par une série de sit-in et manifestations pour dénoncer la détérioration de ses conditions économiques. Face à la pression des manifestants, les autorités régionales avaient annoncé la mise en place de mesures de relance économiques.