Les frontières entre le Maroc et les enclaves Sebta et Melilia sont condamnées à rester fermées encore longtemps. Le ministère espagnol de l’Intérieur a décidé de prolonger la fermeture jusqu’au 31 mars prochain, indique El Faro de Ceuta, citant une décision publiée sur le bulletin officiel espagnol.
Cette prolongation fait suite à d’autres décisions similaires le département de Fernando Marlaska qui a reconduit la dernière fois, le délai de fermeture au 31 janvier 2022. Cette décision ne porte aucun « préjudice aux nouvelles recommandations de l’Union européenne », souligne la même source.
En effet, les gouvernements locaux continuent de se plaindre de la fermeture des frontières des frontières, qui a asphyxié leurs économies. Rappelons, à cet égard, que le Maroc a mis fin au commerce transfrontalier et à la contrebande. Bien que cela se soit répercuté négativement sur des centaines de familles qui vivaient de cette activité clandestine, les autorités marocaines continuent de penser à des alternatives économiques. Les résultats sont d’ores et déjà là. La zone économique mise en place près de Cabo Negro a commencé à accueillir les premiers bénéficiaires. L’Institut marocain d’intelligence stratégique (IMIS) a préconisé, dans une nouvelle étude, de mettre le paquet sur l’industrie du Cannabis, et le soutien à l’entreprenariat dans le cadre des programmes de prêts-garantis.
Cette prolongation fait suite à d’autres décisions similaires le département de Fernando Marlaska qui a reconduit la dernière fois, le délai de fermeture au 31 janvier 2022. Cette décision ne porte aucun « préjudice aux nouvelles recommandations de l’Union européenne », souligne la même source.
En effet, les gouvernements locaux continuent de se plaindre de la fermeture des frontières des frontières, qui a asphyxié leurs économies. Rappelons, à cet égard, que le Maroc a mis fin au commerce transfrontalier et à la contrebande. Bien que cela se soit répercuté négativement sur des centaines de familles qui vivaient de cette activité clandestine, les autorités marocaines continuent de penser à des alternatives économiques. Les résultats sont d’ores et déjà là. La zone économique mise en place près de Cabo Negro a commencé à accueillir les premiers bénéficiaires. L’Institut marocain d’intelligence stratégique (IMIS) a préconisé, dans une nouvelle étude, de mettre le paquet sur l’industrie du Cannabis, et le soutien à l’entreprenariat dans le cadre des programmes de prêts-garantis.