Contre vents et marées, nous précise mardi une source responsable auprès de la Sucrerie de Sidi Bennour, Cosumar a, en effet, réussi à tirer son épingle du jeu pour Sidi Bennour, réalisant presque un exploit, grâce aux 10.722 Ha en pompage privé dont 20% de fertilisation raisonnée à la parcelle, pour une production totale de quelque 784.663 T de betteraves, avec un taux de rendement racine de 73,18/ Ha et une richesse estimée à 16,3. Quant à l’opération d’arrachage, elle a été à 100% mécanique, a-t-il fait savoir.
Et d’ajouter: les semis de la betterave à sucre avaient démarré le 28 septembre 2020 et la campagne d’arrachage a démarré le 8 mai dernier, pour une durée de récolte de 58 jours, contre 97 jours en 2020, mobilisant quelque 345 camions et tracteurs au service de près de 3395 agriculteurs, pour acheminer le produit des champs vers l’usine de Sidi Bennour. Le revenu moyen de l’agriculteur est de 34.708 dirhams à l’hectare, poursuit la même source.
Par ailleurs, souligne Abdelkader Kandil, président de l’Association des producteurs de betterave des Doukkala, outre son élan de solidarité nationale et régionale, la Sucrerie des Doukkala consacre aussi chaque année des primes d’encouragement en faveur des bacheliers méritants, enfants d’agriculteurs producteurs de betterave à sucre, partenaires de Cosumar, et contribue aussi à l’octroi de voyages de Omra pour récompenser les agriculteurs ayant obtenu les meilleurs rendements dans la région.
Par ailleurs, « l’insuffisance des eaux d’irrigation expose la saison betteravière à de grandes difficultés, précise Hassan Mounir, directeur général adjoint de Cosumar, lors d’une rencontre avec la presse nationale, précisant que dans les Doukkala, seuls 10.700 hectares ont été emblavés cette année, soit 45% de la superficie totale, ayant bénéficié à un total de quelque 3.300 agriculteurs des zones de pompage.
Cette situation, poursuit-il, a amené Cosumar à déployer d’énormes efforts pour assurer le financement des puits, mais aussi l’énergie électrique et autres matériaux de pompage, pour sauver la campagne betteravière 2020-2021 ».
A cet effet, la Compagnie Sucrière Marocaine travaille actuellement d’arrache-pied pour trouver une solution au problème de l’irrigation. En attendant la réalisation du projet de dessalement, Cosumar oeuvre sans cesse pour valoriser cette culture stratégique, améliorer le rendement, les moyens de production, l’économie de l’eau, la recherche et le développement du secteur sucrier au Maroc, conclut Hassan Mounir, directeur général adjoint de Cosumar.
Et d’ajouter: les semis de la betterave à sucre avaient démarré le 28 septembre 2020 et la campagne d’arrachage a démarré le 8 mai dernier, pour une durée de récolte de 58 jours, contre 97 jours en 2020, mobilisant quelque 345 camions et tracteurs au service de près de 3395 agriculteurs, pour acheminer le produit des champs vers l’usine de Sidi Bennour. Le revenu moyen de l’agriculteur est de 34.708 dirhams à l’hectare, poursuit la même source.
Par ailleurs, souligne Abdelkader Kandil, président de l’Association des producteurs de betterave des Doukkala, outre son élan de solidarité nationale et régionale, la Sucrerie des Doukkala consacre aussi chaque année des primes d’encouragement en faveur des bacheliers méritants, enfants d’agriculteurs producteurs de betterave à sucre, partenaires de Cosumar, et contribue aussi à l’octroi de voyages de Omra pour récompenser les agriculteurs ayant obtenu les meilleurs rendements dans la région.
Par ailleurs, « l’insuffisance des eaux d’irrigation expose la saison betteravière à de grandes difficultés, précise Hassan Mounir, directeur général adjoint de Cosumar, lors d’une rencontre avec la presse nationale, précisant que dans les Doukkala, seuls 10.700 hectares ont été emblavés cette année, soit 45% de la superficie totale, ayant bénéficié à un total de quelque 3.300 agriculteurs des zones de pompage.
Cette situation, poursuit-il, a amené Cosumar à déployer d’énormes efforts pour assurer le financement des puits, mais aussi l’énergie électrique et autres matériaux de pompage, pour sauver la campagne betteravière 2020-2021 ».
A cet effet, la Compagnie Sucrière Marocaine travaille actuellement d’arrache-pied pour trouver une solution au problème de l’irrigation. En attendant la réalisation du projet de dessalement, Cosumar oeuvre sans cesse pour valoriser cette culture stratégique, améliorer le rendement, les moyens de production, l’économie de l’eau, la recherche et le développement du secteur sucrier au Maroc, conclut Hassan Mounir, directeur général adjoint de Cosumar.
Mohamed LOKHNATI