Grouillante d’activité, la chaussée de la grande place du quartier El M’lahfa, la place El Hadada et l‘avenue Bir Anzarane sont devenues des souks très populaires. Un mélange pittoresque de commerçants et de vendeurs à même la terre, offrant « l’affaire du jour » ou encore un bric-à brac d’objets hétéroclites neufs ou vieillots, de la friperie et différents produits de la contrebande, des légumes et fruits, du poisson, sans respect des normes sanitaires.
Il s’agit principalement de gens qui tentent de tirer profit d’une vie économique paralysée ces derniers mois par une baisse constante du pourvoir d’achat. Nombre de « ferrachas » occupent la voie publique le long de l’avenue du quartier El Hadada, à l’avenue n°9 à côté de la résidence des Forces Auxiliaires, dans les rues 22 et 23 de la ville nouvelle.
On assiste également à des « guerres de territoire » entre vendeurs oeuvrant dans l’informel. Les habitants et les propriétaires des magasins ne cessent de se plaindre des bruits et des bagarres, outre du tapage nocturne. Ça et là les chansons du chaâbi, de rai… à crever les tympans. Vacarme augmenté par les appels des mendiants qui par dizaines occupent les trottoirs, les abords des magasins et des mosquées.D’autre part, il y a lieu de signaler que des trottoirs et des espaces pour piétons sont outrageusement encombrés par les tables et les chaises qui débordent des terrasses des cafés.
Vers minuit, vendeurs à la sauvette et consommateurs en désertant les lieux, laissent des tonnes d’ordures et d’immondices à même sol. Et c’est aux agents des services de nettoyage de la ville de nettoyer ces rues « privatisées » par des commerçants qui ne contribuent aucunement à la gestion de la cité.
Il s’agit principalement de gens qui tentent de tirer profit d’une vie économique paralysée ces derniers mois par une baisse constante du pourvoir d’achat. Nombre de « ferrachas » occupent la voie publique le long de l’avenue du quartier El Hadada, à l’avenue n°9 à côté de la résidence des Forces Auxiliaires, dans les rues 22 et 23 de la ville nouvelle.
On assiste également à des « guerres de territoire » entre vendeurs oeuvrant dans l’informel. Les habitants et les propriétaires des magasins ne cessent de se plaindre des bruits et des bagarres, outre du tapage nocturne. Ça et là les chansons du chaâbi, de rai… à crever les tympans. Vacarme augmenté par les appels des mendiants qui par dizaines occupent les trottoirs, les abords des magasins et des mosquées.D’autre part, il y a lieu de signaler que des trottoirs et des espaces pour piétons sont outrageusement encombrés par les tables et les chaises qui débordent des terrasses des cafés.
Vers minuit, vendeurs à la sauvette et consommateurs en désertant les lieux, laissent des tonnes d’ordures et d’immondices à même sol. Et c’est aux agents des services de nettoyage de la ville de nettoyer ces rues « privatisées » par des commerçants qui ne contribuent aucunement à la gestion de la cité.
Ahmed BOUMEHDI