Le but de ce sondage est de recueillir des indications et des tendances sur les pratiques et les problématiques concurrentielles au niveau des secteurs analysés et d’évaluer le niveau de connaissance de la réglementation qui régit le domaine de la concurrence et l’action du Conseil de la concurrence.
« Le droit de la concurrence reste assez méconnu par les opérateurs sondés et l’adhésion à ses règles, limitée. En effet, 41% des entreprises ont déclaré connaître le droit de la concurrence. Ce taux est plus significatif chez les grands comptes dont 52% ont déclaré connaître ce domaine », révèle le rapport.
Dans le même contexte, la source a expliqué que « La connaissance de l’existence d’une autorité de régulation de la concurrence constitue une insuffisance qui est constatée au niveau des entreprises de l’ensemble des régions du Maroc. Ces dernières affichent dans l’ensemble une moyenne d’environ 12% d’entreprises ayant confirmé connaître l’existence du Conseil de la concurrence ».
En ce qui concerne le rôle du Conseil de la concurrence, seul 8% entre les entreprises interrogées ont pu citer une affaire traitée ces trois dernières années par le Conseil de la concurrence.
« Le droit de la concurrence reste assez méconnu par les opérateurs sondés et l’adhésion à ses règles, limitée. En effet, 41% des entreprises ont déclaré connaître le droit de la concurrence. Ce taux est plus significatif chez les grands comptes dont 52% ont déclaré connaître ce domaine », révèle le rapport.
Dans le même contexte, la source a expliqué que « La connaissance de l’existence d’une autorité de régulation de la concurrence constitue une insuffisance qui est constatée au niveau des entreprises de l’ensemble des régions du Maroc. Ces dernières affichent dans l’ensemble une moyenne d’environ 12% d’entreprises ayant confirmé connaître l’existence du Conseil de la concurrence ».
En ce qui concerne le rôle du Conseil de la concurrence, seul 8% entre les entreprises interrogées ont pu citer une affaire traitée ces trois dernières années par le Conseil de la concurrence.