Spécialisé dans la fabrication et la commercialisation des médicaments depuis 1976, le laboratoire Sothema a opté pour la production des médicaments sous licence comme principale activité.
Dans cette même logique, Sothema a annoncé le développement du premier antibiotique purement marocain. « Les laboratoires Sothema ont le plaisir de vous annoncer la mise sur le marché marocain d’une nouvelle spécialité pharmaceutique : OLIPEN 500 mg/62.5 mg/100 mg », indique le producteur pharmaceutique marocain dans une note signée par Lamia Tazi, PDG, Pharmacien Responsable, et Mehdi Zeghloul, directeur exécutif des opérations.
Ce nouveau médicament vient s’ajouter à un portefeuille de plus de 300 produits dont dispose Sothema qui s’appuie sur des partenariats avec plus de 35 commettants multinationaux, leaders mondiaux dans l’industrie pharmaceutique. Le laboratoire réalise une croissance permanente en matière de production des médicaments sous licence, notamment grâce au lancement de produits nouveaux qui sont souvent des spécialités thérapeutiques.
« OLIPEN est un médicament associant une pénicilline, un inhibiteur de la bêta-lactamase
et du cinéol : Amoxicilline - Acide clavulanique - Cinéol », précise-t-on. Ces composantes sont utilisées dans le traitement d’infections bactériennes.
Très souvent, une infection bactérienne aiguë, surtout si elle s’accompagne de fièvre, doit être traitée avec des antibiotiques, par voie orale ou par voie injectable dans les cas graves, avec une durée de traitement de 5 jours pouvant aller jusqu’à 3 semaines. « Olipen est indiqué pour le traitement des infections suivantes : infection de l’oreille moyenne et des sinus, infections des voies respiratoires, infections des voies urinaires, infections de la peau et des tissus mous incluant les infections dentaires, infections des articulations », ajoute la même source, notant que ce médicament est à prescrire pour l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans.
Dans cette même logique, Sothema a annoncé le développement du premier antibiotique purement marocain. « Les laboratoires Sothema ont le plaisir de vous annoncer la mise sur le marché marocain d’une nouvelle spécialité pharmaceutique : OLIPEN 500 mg/62.5 mg/100 mg », indique le producteur pharmaceutique marocain dans une note signée par Lamia Tazi, PDG, Pharmacien Responsable, et Mehdi Zeghloul, directeur exécutif des opérations.
Ce nouveau médicament vient s’ajouter à un portefeuille de plus de 300 produits dont dispose Sothema qui s’appuie sur des partenariats avec plus de 35 commettants multinationaux, leaders mondiaux dans l’industrie pharmaceutique. Le laboratoire réalise une croissance permanente en matière de production des médicaments sous licence, notamment grâce au lancement de produits nouveaux qui sont souvent des spécialités thérapeutiques.
« OLIPEN est un médicament associant une pénicilline, un inhibiteur de la bêta-lactamase
et du cinéol : Amoxicilline - Acide clavulanique - Cinéol », précise-t-on. Ces composantes sont utilisées dans le traitement d’infections bactériennes.
Très souvent, une infection bactérienne aiguë, surtout si elle s’accompagne de fièvre, doit être traitée avec des antibiotiques, par voie orale ou par voie injectable dans les cas graves, avec une durée de traitement de 5 jours pouvant aller jusqu’à 3 semaines. « Olipen est indiqué pour le traitement des infections suivantes : infection de l’oreille moyenne et des sinus, infections des voies respiratoires, infections des voies urinaires, infections de la peau et des tissus mous incluant les infections dentaires, infections des articulations », ajoute la même source, notant que ce médicament est à prescrire pour l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans.
L’industrie médicale au Maroc : Un potentiel de diplomatie pharmaceutique ?
Tablant sur une biotechnologie qui regroupe l’ensemble des procédés qui permettent de transformer de la matière vivante (bactérie, cellule, virus, ADN, protéine…), pour obtenir un produit pharmaceutique, Sothema s’est fixé pour objectif d’atteindre une montée en charge des exportations à travers un taux de croissance annuel moyen (TCAM) de 39% et une contribution cible au chiffre d’affaires consolidé de 15% à horizon 2025. Cela-dit, ce nouvel antibiotique pourra être exporté pour s’ajouter à la capacité croissante de production pharmaceutique du Maroc qui ne manquera pas de rehausser la réputation et le prestige du pays sur le continent africain, la région du monde la plus résistante aux antimicrobiens, selon une étude publiée par « The Lancet ».
La biotechnologie, selon le laboratoire, est un secteur porteur qui propose des applications qui touchent directement l’Homme. Une volonté qui répond parfaitement à la nouvelle vision marocaine qui ambitionne de placer le citoyen au centre du système sanitaire.
La montée en puissance massive de la fabrication de vaccins africains au Maroc offre à celui-ci la possibilité de s’engager dans la diplomatie des vaccins. Cette dernière fait référence aux pays qui utilisent leur offre de vaccins comme moyen d’établir des relations positives et de renforcer les liens diplomatiques. Dans ce sillage, le Maroc a déjà démarré la production mensuelle de plus de trois millions de doses de vaccin chinois Sinopharm, révélant que cette production mensuelle doit atteindre plus de 20 millions fin 2022, pour devenir ainsi le centre biomédical de l’Afrique.
En cette période de pandémie, et via ses relations économiques avec les pays africains qui sont régies par un cadre juridique de plus de 500 accords de coopération, le Maroc a l’opportunité de devenir le plus grand fabricant de vaccins d’Afrique et pourrait concurrencer la présence de la Chine et de la Russie dans la diplomatie africaine des vaccins. En construisant une réputation de producteur continental, le Royaume pourra aller au-delà des vaccins pour élargir son offre pharmaceutique en Afrique.
La biotechnologie, selon le laboratoire, est un secteur porteur qui propose des applications qui touchent directement l’Homme. Une volonté qui répond parfaitement à la nouvelle vision marocaine qui ambitionne de placer le citoyen au centre du système sanitaire.
La montée en puissance massive de la fabrication de vaccins africains au Maroc offre à celui-ci la possibilité de s’engager dans la diplomatie des vaccins. Cette dernière fait référence aux pays qui utilisent leur offre de vaccins comme moyen d’établir des relations positives et de renforcer les liens diplomatiques. Dans ce sillage, le Maroc a déjà démarré la production mensuelle de plus de trois millions de doses de vaccin chinois Sinopharm, révélant que cette production mensuelle doit atteindre plus de 20 millions fin 2022, pour devenir ainsi le centre biomédical de l’Afrique.
En cette période de pandémie, et via ses relations économiques avec les pays africains qui sont régies par un cadre juridique de plus de 500 accords de coopération, le Maroc a l’opportunité de devenir le plus grand fabricant de vaccins d’Afrique et pourrait concurrencer la présence de la Chine et de la Russie dans la diplomatie africaine des vaccins. En construisant une réputation de producteur continental, le Royaume pourra aller au-delà des vaccins pour élargir son offre pharmaceutique en Afrique.