Situé sur une côte littorale de 65 Km entre l’embouchure de l’Oued Souss au nord et Sidi Moussa d’Aglou au Sud, ce parc est à cheval sur les provinces d’Inezgane Ait-Melloul (4.540 ha), de Chtouka-Ait Baha (21.010 ha) et de Tiznit (8.250 ha). Différents écosystèmes sont représentés au niveau du parc dont des steppes, des falaises, des dunes littorales et des zones humides de grande importance pour l’hivernage d’un grand nombre d’oiseaux migrateurs.
«Le PNSM possède une faune riche, de 30 espèces mammifères, 35 espèces de reptiles et 250 espèces d’oiseaux, qui ont trouvé refuge dans cette zone abritant la plus importante population sauvage d’ibis chauve dans le monde», a indiqué Mohamed El Bekkay, directeur de ce site écobiologique.
“Le parc présente un paysage lunaire façonné par l’érosion éolienne, il se distingue par une végétation diversifiée composée de 300 espèces, adaptées au climat aride et océanique”, a-t-il expliqué, relevant que le département des Eaux et des forêts a veillé à la réintroduction de ces espèces.
Le Parc englobe des zones avec des entités écologiques spécifiques, qui se distinguent par une grande diversité faunistique et floristique, a -t-il fait savoir, rappelant que cet espace naturel s’assigne pour objectifs la conservation et réhabilitation des habitats et des espèces, la contribution au développement local durable, l’éducation et la sensibilisation à l’environnement, la valorisation des gazelles et l’encouragement de leur reproduction, ainsi que la promotion de la recherche scientifique.
La réintroduction progressive de cette faune dans son habitat naturel a débuté en 2008, à travers la translocation de groupes d’addax dans la réserve de Safia à Dakhla et d’oryx dans celle de Msissi à Errachidia», s’est félicité le professionnel environnemental.
Le secteur de Rokein, avec ses 250 ha d’arganiers et les secteurs d’Arrouais d’Ouled Noumer, avec les quelques arbres éparses, sont aujourd’hui les seuls endroits où cet arbre endémique existe encore dans le parc, a-t-il éclairé, tout en rappelant que l’arganeraie constitue un habitat favorable pour l’écureuil de barbarie, le Renard roux, le Chat sauvage, la tourterelle des bois, la Piegrièche grise et la Huppe fasciée ainsi que de nombreuses espèces de reptiles comme l’Agame de Biberon et le Cobra d’Egypte.
Aussi une série d’oiseaux fréquente également cet écosystème comme le Cochevis de Thékla, le Rougequeue de Moussier, la Fauvette mélanocéphale, la Chevêche d’Athéna et le Traquet oreillard. Ces peuplements d’euphorbes sont utilisés pour la production du miel d’euphorbes, très apprécié pour ses valeurs nutritives et pharmaceutiques, at-il dit. De même, M. El Bekkay a mis en avant la position géographique du parc entre l’Europe et l’Afrique, qui fait des embouchures des Oueds Souss et Massa des zones humides de grande importance pour l’escale, l’hivernage, et la nidification de nombreuses espèces d’oiseaux d’eaux dont certains sont parmi les plus rares ou menacées.
«Le PNSM possède une faune riche, de 30 espèces mammifères, 35 espèces de reptiles et 250 espèces d’oiseaux, qui ont trouvé refuge dans cette zone abritant la plus importante population sauvage d’ibis chauve dans le monde», a indiqué Mohamed El Bekkay, directeur de ce site écobiologique.
“Le parc présente un paysage lunaire façonné par l’érosion éolienne, il se distingue par une végétation diversifiée composée de 300 espèces, adaptées au climat aride et océanique”, a-t-il expliqué, relevant que le département des Eaux et des forêts a veillé à la réintroduction de ces espèces.
Le Parc englobe des zones avec des entités écologiques spécifiques, qui se distinguent par une grande diversité faunistique et floristique, a -t-il fait savoir, rappelant que cet espace naturel s’assigne pour objectifs la conservation et réhabilitation des habitats et des espèces, la contribution au développement local durable, l’éducation et la sensibilisation à l’environnement, la valorisation des gazelles et l’encouragement de leur reproduction, ainsi que la promotion de la recherche scientifique.
La réintroduction progressive de cette faune dans son habitat naturel a débuté en 2008, à travers la translocation de groupes d’addax dans la réserve de Safia à Dakhla et d’oryx dans celle de Msissi à Errachidia», s’est félicité le professionnel environnemental.
Le secteur de Rokein, avec ses 250 ha d’arganiers et les secteurs d’Arrouais d’Ouled Noumer, avec les quelques arbres éparses, sont aujourd’hui les seuls endroits où cet arbre endémique existe encore dans le parc, a-t-il éclairé, tout en rappelant que l’arganeraie constitue un habitat favorable pour l’écureuil de barbarie, le Renard roux, le Chat sauvage, la tourterelle des bois, la Piegrièche grise et la Huppe fasciée ainsi que de nombreuses espèces de reptiles comme l’Agame de Biberon et le Cobra d’Egypte.
Aussi une série d’oiseaux fréquente également cet écosystème comme le Cochevis de Thékla, le Rougequeue de Moussier, la Fauvette mélanocéphale, la Chevêche d’Athéna et le Traquet oreillard. Ces peuplements d’euphorbes sont utilisés pour la production du miel d’euphorbes, très apprécié pour ses valeurs nutritives et pharmaceutiques, at-il dit. De même, M. El Bekkay a mis en avant la position géographique du parc entre l’Europe et l’Afrique, qui fait des embouchures des Oueds Souss et Massa des zones humides de grande importance pour l’escale, l’hivernage, et la nidification de nombreuses espèces d’oiseaux d’eaux dont certains sont parmi les plus rares ou menacées.