En adaptation à la dégradation de la situation épidémiologique dans certaines préfectures et provinces, de nombreuses prisons n’ouvriront plus leurs parloirs aux proches des détenus dans le cadre des visites familiales.
La Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a décidé de suspendre les visites familiales aux détenus de certains établissements pénitentiaires, et ce, en rapport avec le développement de la situation sanitaire dans certaines préfectures et provinces.
Dans un communiqué publié jeudi, la Direction fait savoir que cette décision concerne les établissements de Ain Sebaa 1, Ain Sebaa 2, le Centre de réforme et de rééducation Ain Sebaa, et Ain Borja à Casablanca, Salé 2, El Arjat 1, El Arjat 2, la prison locale de Kénitra et de l'Oudaya à Marrakech, Tanger 1, Tanger 2, Tétouan, Ras El Ma et Bourkaiz à Fès.
Cette décision intervient au moment où les craintes montent quant à la propagation de la pandémie dans les établissements carcéraux, elle s’inscrit dans le cadre des mesures de précaution prises par la DGAPR pour protéger la population carcérale et les fonctionnaires qui y travaillent.
La Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a décidé de suspendre les visites familiales aux détenus de certains établissements pénitentiaires, et ce, en rapport avec le développement de la situation sanitaire dans certaines préfectures et provinces.
Dans un communiqué publié jeudi, la Direction fait savoir que cette décision concerne les établissements de Ain Sebaa 1, Ain Sebaa 2, le Centre de réforme et de rééducation Ain Sebaa, et Ain Borja à Casablanca, Salé 2, El Arjat 1, El Arjat 2, la prison locale de Kénitra et de l'Oudaya à Marrakech, Tanger 1, Tanger 2, Tétouan, Ras El Ma et Bourkaiz à Fès.
Cette décision intervient au moment où les craintes montent quant à la propagation de la pandémie dans les établissements carcéraux, elle s’inscrit dans le cadre des mesures de précaution prises par la DGAPR pour protéger la population carcérale et les fonctionnaires qui y travaillent.