Le rapport publié par le Réseau syrien des droits de l’homme à l’occasion de la Journée internationale de l’enfant n’épargne aucune partie dans ses accusations de violations contre les droits de l’enfant, «cependant, le régime syrien a dépassé toutes les parties en termes de nombre de crimes qu’il a commis de manière typique et systématique».
Le rapport indique qu’au moins 29.661 enfants ont été tués en Syrie depuis mars 2011, dont 181 enfants du fait de la torture, en plus des 5036 enfants qui sont toujours en état d’arrestation ou de disparition forcée. En plus des meurtres, des arrestations, des disparitions forcées et de la torture, le rapport dénonce aussi l’embrigadement d’enfants et les attaques contre les centres éducatifs.
La même source indique que 22.930 ont été tués par les forces du régime syrien, 2032 par les forces russes, 958 par ISIS et 71 par Hay’at Tahrir al-Sham. Les Forces démocratiques syriennes (SDF) ont tué 237 enfants. 925 enfants ont été tués dans des attaques par les forces de la coalition internationale, et 1512 enfants ont été tués par d’autres parties.
Violences sexuelles, déplacements forcés et destructions des écoles
Le rapport indique que les forces du régime syrien ont pratiqué des violences sexuelles contre des enfants dénombrant au moins 539 incidents de violences sexuelles contre des enfants, soulignant les répercussions physiques et psychologiques à long terme sur les enfants victimes.
Le bombardement continu des forces du régime syrien depuis mars 2011 a causé la destruction totale ou partielle d’au moins 1197 écoles, entraînant la mise hors service de la plupart d’entre elles. Le rapport a également relevé la transformation de dizaines d’écoles en quartiers généraux militaires par le régime syrien et ses alliés.
Ceci, en plus des déplacements forcés et des déplacements à plusieurs reprises dus aux attaques, a conduit à la détérioration du système éducatif, et des dizaines de milliers d’enfants ont abandonné l’école. Avec la propagation de l’extrême pauvreté, tout cela a conduit à la propagation du travail des enfants dans toutes les régions de Syrie.
L’armée syrienne a également utilisé des enfants dans des opérations de recrutement dès le début du mouvement populaire. Le régime syrien a également facilité le recrutement d’enfants dans les rangs des milices étrangères et n’a mené aucune enquête ni aucune responsabilité à leur égard.
Le rapport estime qu’il y a au moins 1374 enfants actuellement recrutés dans les forces du régime syrien, en plus des dizaines d’enfants dans les milices iraniennes. Le rapport fait état de la mort d’au moins 436 enfants lors d’attaques au cours desquelles le régime syrien a utilisé des armes à sousmunitions, ou après que d’anciens restes aient explosé dans des zones précédemment bombardées d’armes à sous-munitions.
Les mines terrestres posées par toutes les parties au conflit constituent une deuxième menace après les armes à sous-munitions, selon le rapport. Le rapport indique qu’il y a au moins 2,5 millions d’enfants déplacés en Syrie, selon le HCR, dont la plupart vivent dans des camps ou des tentes qui s’étendent sur de vastes zones dans la plupart des zones hors du contrôle des forces du régime syrien, et les déplacés souffrent de les pires conditions de vie.
Le rapport indique qu’au moins 29.661 enfants ont été tués en Syrie depuis mars 2011, dont 181 enfants du fait de la torture, en plus des 5036 enfants qui sont toujours en état d’arrestation ou de disparition forcée. En plus des meurtres, des arrestations, des disparitions forcées et de la torture, le rapport dénonce aussi l’embrigadement d’enfants et les attaques contre les centres éducatifs.
La même source indique que 22.930 ont été tués par les forces du régime syrien, 2032 par les forces russes, 958 par ISIS et 71 par Hay’at Tahrir al-Sham. Les Forces démocratiques syriennes (SDF) ont tué 237 enfants. 925 enfants ont été tués dans des attaques par les forces de la coalition internationale, et 1512 enfants ont été tués par d’autres parties.
Violences sexuelles, déplacements forcés et destructions des écoles
Le rapport indique que les forces du régime syrien ont pratiqué des violences sexuelles contre des enfants dénombrant au moins 539 incidents de violences sexuelles contre des enfants, soulignant les répercussions physiques et psychologiques à long terme sur les enfants victimes.
Le bombardement continu des forces du régime syrien depuis mars 2011 a causé la destruction totale ou partielle d’au moins 1197 écoles, entraînant la mise hors service de la plupart d’entre elles. Le rapport a également relevé la transformation de dizaines d’écoles en quartiers généraux militaires par le régime syrien et ses alliés.
Ceci, en plus des déplacements forcés et des déplacements à plusieurs reprises dus aux attaques, a conduit à la détérioration du système éducatif, et des dizaines de milliers d’enfants ont abandonné l’école. Avec la propagation de l’extrême pauvreté, tout cela a conduit à la propagation du travail des enfants dans toutes les régions de Syrie.
L’armée syrienne a également utilisé des enfants dans des opérations de recrutement dès le début du mouvement populaire. Le régime syrien a également facilité le recrutement d’enfants dans les rangs des milices étrangères et n’a mené aucune enquête ni aucune responsabilité à leur égard.
Le rapport estime qu’il y a au moins 1374 enfants actuellement recrutés dans les forces du régime syrien, en plus des dizaines d’enfants dans les milices iraniennes. Le rapport fait état de la mort d’au moins 436 enfants lors d’attaques au cours desquelles le régime syrien a utilisé des armes à sousmunitions, ou après que d’anciens restes aient explosé dans des zones précédemment bombardées d’armes à sous-munitions.
Les mines terrestres posées par toutes les parties au conflit constituent une deuxième menace après les armes à sous-munitions, selon le rapport. Le rapport indique qu’il y a au moins 2,5 millions d’enfants déplacés en Syrie, selon le HCR, dont la plupart vivent dans des camps ou des tentes qui s’étendent sur de vastes zones dans la plupart des zones hors du contrôle des forces du régime syrien, et les déplacés souffrent de les pires conditions de vie.