Les intervenants lors de cette rencontre, qui a connu la participation d’une pléiade d’universitaires spécialistes en relations internationales, se sont arrêtés sur les succès engrangés par la diplomatie marocaine, sous le leadership éclairé de SM le Roi Mohammed VI, qui ont été couronnés par la décision des Etats-Unis de reconnaitre la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara.
Le professeur à la faculté de Droit de Tanger et spécialiste en relations internationales, Mohamed Gharbi, a souligné que le Maroc a réalisé des victoires positives successives dans le dossier du Sahara marocain, dont la dernière est la décision américaine, assurant que «la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara n’est pas une décision ordinaire, car elle est émise par le pays le plus puissant du monde, et constitue aussi une consécration du rôle pionnier du Royaume du Maroc en Afrique du Nord et ses efforts consentis, aux côtés de la communauté internationale, pour combattre et éradiquer le terrorisme».
Après avoir rappelé les multiples efforts diplomatiques déployés, sous le leadership de SM le Roi, pour renforcer la coopération avec les pays africains, l’expert a relevé que les investissements publics dans les provinces du Sud, avec à leur tête le grand projet du port de Dakhla, visent à faire de ces provinces «une plateforme économique au service des pays africains, et une porte d’espoir pour consolider la coopération Sud-Sud au service des questions de développement durable en Afrique».
Pour sa part, l’universitaire Abdelkebir Yahia s’est attelé au soubassement historique de ces victoires diplomatiques, à commencer par les traités et les accords conclus, il y a des siècles, entre le Maroc et des pays occidentaux, en particulier les États-Unis, l’Espagne et le Portugal, qui couvrent les provinces du Sud, en passant par la Marche verte et le retour au sein de l’Union africaine, jusqu’à l’ouverture de plusieurs consulats dans les provinces du Sud. Contrairement au Front Polisario et son parrain, l’Algérie, qui cherchent à perpétuer le conflit et à prolonger les souffrances de la population des camps, l’universitaire a souligné que le Maroc a lancé un nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud et a entamé sa concrétisation parallèlement à la régionalisation avancée, de manière à assurer la prospérité et le progrès au profit de la population du Sahara, évoquant les grands chantiers engagés, en l’occurrence le port de Dakhla, la voie express et la construction d’usines, de projets énergétiques et de zones économiques.
De son côté, l’universitaire Nissrin Boukhizou a relevé que le Maroc a adopté, au sujet de la question du Sahara, une nouvelle approche tridimensionnelle basée sur les droits de l’Homme et les aspects sécuritaires et de développement, pour assurer la sécurité et la paix, et ce dans le cadre d’un projet stratégique au service de tous les pays de la région.
Elle a, à cet égard, souligné que la diplomatie marocaine joue un rôle pionnier dans la consolidation de la position du Royaume aux niveaux régional et international, notant que l’ouverture de consulats dans les provinces du Sud s’inscrit dans le cadre de la politique du Maroc de nouer de nouvelles alliances, et de la mise en œuvre des dispositions de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques.
Le professeur à la faculté de Droit de Tanger et spécialiste en relations internationales, Mohamed Gharbi, a souligné que le Maroc a réalisé des victoires positives successives dans le dossier du Sahara marocain, dont la dernière est la décision américaine, assurant que «la reconnaissance américaine de la marocanité du Sahara n’est pas une décision ordinaire, car elle est émise par le pays le plus puissant du monde, et constitue aussi une consécration du rôle pionnier du Royaume du Maroc en Afrique du Nord et ses efforts consentis, aux côtés de la communauté internationale, pour combattre et éradiquer le terrorisme».
Après avoir rappelé les multiples efforts diplomatiques déployés, sous le leadership de SM le Roi, pour renforcer la coopération avec les pays africains, l’expert a relevé que les investissements publics dans les provinces du Sud, avec à leur tête le grand projet du port de Dakhla, visent à faire de ces provinces «une plateforme économique au service des pays africains, et une porte d’espoir pour consolider la coopération Sud-Sud au service des questions de développement durable en Afrique».
Pour sa part, l’universitaire Abdelkebir Yahia s’est attelé au soubassement historique de ces victoires diplomatiques, à commencer par les traités et les accords conclus, il y a des siècles, entre le Maroc et des pays occidentaux, en particulier les États-Unis, l’Espagne et le Portugal, qui couvrent les provinces du Sud, en passant par la Marche verte et le retour au sein de l’Union africaine, jusqu’à l’ouverture de plusieurs consulats dans les provinces du Sud. Contrairement au Front Polisario et son parrain, l’Algérie, qui cherchent à perpétuer le conflit et à prolonger les souffrances de la population des camps, l’universitaire a souligné que le Maroc a lancé un nouveau modèle de développement pour les provinces du Sud et a entamé sa concrétisation parallèlement à la régionalisation avancée, de manière à assurer la prospérité et le progrès au profit de la population du Sahara, évoquant les grands chantiers engagés, en l’occurrence le port de Dakhla, la voie express et la construction d’usines, de projets énergétiques et de zones économiques.
De son côté, l’universitaire Nissrin Boukhizou a relevé que le Maroc a adopté, au sujet de la question du Sahara, une nouvelle approche tridimensionnelle basée sur les droits de l’Homme et les aspects sécuritaires et de développement, pour assurer la sécurité et la paix, et ce dans le cadre d’un projet stratégique au service de tous les pays de la région.
Elle a, à cet égard, souligné que la diplomatie marocaine joue un rôle pionnier dans la consolidation de la position du Royaume aux niveaux régional et international, notant que l’ouverture de consulats dans les provinces du Sud s’inscrit dans le cadre de la politique du Maroc de nouer de nouvelles alliances, et de la mise en œuvre des dispositions de la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques.