La ville du Détroit est un vrai joyau architectural et culturel grâce à ses murailles, datant du 14e siècle et ses ruelles surplombées de balcons arabo-andalous et la place de la Casbah, qui était notamment un repaire préféré de l’écrivain américain Paul Bowles, où il passait des heures à écrire.
De même, à la médina de Tanger, Eugène Delacroix redécouvre le romanticisme, Henri Matisse apprend l’alchimie des couleurs, William S. Burroughs écrit «Le festin nu», Paul Bowles crée «Un thé au Sahara», Mohamed Choukri rédige «Le pain nu», Paul Morand vit son exil et pour Jean Genet, «c’était la ville adorée».
Carrefour de civilisations, la ville était très convoitée pour sa position stratégique : au cours des époques antiques, elle a successivement été conquise par les Romains, les Vandales, les Byzantins, les Wisigoths et principalement les Arabes. Les vestiges français, portugais ou espagnols ne manquent pas.
Ce sont des richesses essentielles à l’identité culturelle de la ville, d’où la nécessité de la valorisation et la réhabilitation du patrimoine immatériel, a expliqué la cheffe de projet chargée du programme de réhabilitation et de valorisation de la médina au sein de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord (APDN), Hajar Mzibra.
Faisant suite à la volonté Royale visant la valorisation du patrimoine des médinas et intervenant dans le cadre du programme de réhabilitation et de mise en valeur de la médina de Tanger, des programmes ont été établis dans une optique transversale, a-t-elle relevé.
Des travaux concerneront les axes de «la réhabilitation des zones urbaines», «la restauration et la réhabilitation du patrimoine», «la restauration et la réhabilitation des lieux de culte» et «le renforcement de l’attractivité touristique et économique des médinas». Ils visent, notamment, à préserver le patrimoine culturel et urbain de la médina et investir pour le développement local et le renforcement de l’attractivité touristique et économique, a-t-elle ajouté.
Ces programmes visent essentiellement la réhabilitation des murailles et des édifices religieux, le réaménagement du cadre bâti, le développement des services socioculturels, la réorganisation des commerces et la valorisation des monuments historiques, note la responsable, précisant qu’ils touchent différents volets, notamment touristiques, culturels et relatifs aux infrastructures.
S’agissant du volet infrastructures, ces projets concernent le ravalement des façades, la réhabilitation des réseaux d’assainissement et d’eau potable, le pavage, l’éclairage public pour plus de sécurité, les équipements publics, à travers l’amélioration des accès, et la restauration des souks.
Sur le volet touristique, selon Mme Mzibra, ces projets contribueront à la promotion des circuits touristiques, étant donné l’emplacement unique de la médina surplombant la côte méditerranéenne. Sur le volet culturel, poursuit-elle, le projet de réhabilitation favorisera la création de musées et salles de théâtre et de cinéma.
De même, à la médina de Tanger, Eugène Delacroix redécouvre le romanticisme, Henri Matisse apprend l’alchimie des couleurs, William S. Burroughs écrit «Le festin nu», Paul Bowles crée «Un thé au Sahara», Mohamed Choukri rédige «Le pain nu», Paul Morand vit son exil et pour Jean Genet, «c’était la ville adorée».
Carrefour de civilisations, la ville était très convoitée pour sa position stratégique : au cours des époques antiques, elle a successivement été conquise par les Romains, les Vandales, les Byzantins, les Wisigoths et principalement les Arabes. Les vestiges français, portugais ou espagnols ne manquent pas.
Ce sont des richesses essentielles à l’identité culturelle de la ville, d’où la nécessité de la valorisation et la réhabilitation du patrimoine immatériel, a expliqué la cheffe de projet chargée du programme de réhabilitation et de valorisation de la médina au sein de l’Agence pour la promotion et le développement du Nord (APDN), Hajar Mzibra.
Faisant suite à la volonté Royale visant la valorisation du patrimoine des médinas et intervenant dans le cadre du programme de réhabilitation et de mise en valeur de la médina de Tanger, des programmes ont été établis dans une optique transversale, a-t-elle relevé.
Des travaux concerneront les axes de «la réhabilitation des zones urbaines», «la restauration et la réhabilitation du patrimoine», «la restauration et la réhabilitation des lieux de culte» et «le renforcement de l’attractivité touristique et économique des médinas». Ils visent, notamment, à préserver le patrimoine culturel et urbain de la médina et investir pour le développement local et le renforcement de l’attractivité touristique et économique, a-t-elle ajouté.
Ces programmes visent essentiellement la réhabilitation des murailles et des édifices religieux, le réaménagement du cadre bâti, le développement des services socioculturels, la réorganisation des commerces et la valorisation des monuments historiques, note la responsable, précisant qu’ils touchent différents volets, notamment touristiques, culturels et relatifs aux infrastructures.
S’agissant du volet infrastructures, ces projets concernent le ravalement des façades, la réhabilitation des réseaux d’assainissement et d’eau potable, le pavage, l’éclairage public pour plus de sécurité, les équipements publics, à travers l’amélioration des accès, et la restauration des souks.
Sur le volet touristique, selon Mme Mzibra, ces projets contribueront à la promotion des circuits touristiques, étant donné l’emplacement unique de la médina surplombant la côte méditerranéenne. Sur le volet culturel, poursuit-elle, le projet de réhabilitation favorisera la création de musées et salles de théâtre et de cinéma.