Après la suspension à vie et 35 000$ d'amende du Marocain Mohamed Hirs, qui a été accusé de multiples violations du programme de lutte contre la corruption dans le tennis tels que la fixation de matches, le non signalement d'une approche de corruption ainsi que la sollicitation d'autres joueurs de ne pas fournir leurs meilleurs efforts lors d'un événement de tennis, l'Agence Internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA) a annoncé, mardi, dautres lourdes sanctions à l'encontre de six joueurs marocains. Il s'agit d'Amine Ahouda (11 ans de suspension et 5000$ d'amende), d'Anas Chakrouni (10 ans de suspension et 5000$ d'amende), d'Ayoub Chakrouni (suspendu à vie et 10 000$ d'amende), de Mohamed Zakaria Khalil (9 ans de suspension et 5000$ d'amende), de Soufiane El Mesbahi (9 ans de suspension et 5000$ d'amende) et de Yassir Kilani (9 ans de suspension et 5000$ d'amende).
Ces sanctions visent à interdire aux joueurs suscités de jouer ou d'assister à tous événements liés au tennis, pendant la durée de leur suspension, organisés par une instance internationale ou une association nationale.
Le président de l'audience, Hollander, a remarqué que les six joueurs étaient fautifs de plusieurs infractions et de divers chefs d'accusation de trucage de matches, précisément de trucage d'éléments de matches, de réception d'argent pour trucage et de non-signalement d'approches corrompues.
À noter que les joueurs suspendus disposent de 20 jours pour introduire tous recours auprès du Tribunal Arbitral du Sport.
Nous aurons l'occasion de revenir là-dessus avec plus de détails.
Ces sanctions visent à interdire aux joueurs suscités de jouer ou d'assister à tous événements liés au tennis, pendant la durée de leur suspension, organisés par une instance internationale ou une association nationale.
Le président de l'audience, Hollander, a remarqué que les six joueurs étaient fautifs de plusieurs infractions et de divers chefs d'accusation de trucage de matches, précisément de trucage d'éléments de matches, de réception d'argent pour trucage et de non-signalement d'approches corrompues.
À noter que les joueurs suspendus disposent de 20 jours pour introduire tous recours auprès du Tribunal Arbitral du Sport.
Nous aurons l'occasion de revenir là-dessus avec plus de détails.