C’est, toujours, la question qui se pose. L’US Open se jouera-t-il ou pas ? Les conditions sanitaires et l’épidémie de coronavirus aux Etats-Unis restent, tellement, préoccupantes que plusieurs tennismen et tenniswomen hésitent, encore, à faire le déplacement à New York alors que le tournoi se jouera du 31 août au 13 septembre 2020. En plus la décision finale concernant sa tenue ou son annulation ne devrait, finalement, être annoncée que la semaine prochaine, plutôt qu’en cette fin de ce mois, comme c’était, initialement, prévu. On peut dire que l’étau se resserre, vraiment, autour de ce Grand Chelem qui reste en suspens.
Déjà côté Dames, on nous apprend que plusieurs du «Top 10» pourraient, quoi qu’il arrive, zapper ce voyage newyorkais, à l’image des deux dernières tenantes du titre, en la personne de la Canadienne Bianca Andreescu et de la Japonaise Naomi Osaka, vainqueurs de l’Américaine Serena Williams, respectivement en 2019 et 2018. Les deux joueuses, en plus de l’Allemande Angelique Kerber, ne se sont, toujours, pas inscrites, alors qu’il ne leur reste que quelques jours pour la clôture. Elles ne se sont pas, non plus, inscrites au tournoi de Cincinnati, délocalisé à NewYork la semaine précédant l’US Open.
L’impasse sur Cincinnati
Même la N°1 mondiale Ashleigh Barty, sa dauphine Simona Halep (qui a renoncé dernièrement à disputer le tournoi de Palerme) et la N°5, Elina Svitolina, vont faire l’impasse sur le tournoi de Cincinnati. D’autres comme Petra Martic (15e) et Qiang Wang (29e) ne disputeront pas, non plus, Cincinnati mais prévoient de jouer l’US Open, si le tournoi est maintenu bien sûr.
Même du côté Messieurs, il y a, encore, des réticences où le trio de tête, Djokovic, Nadal et Thiem, hésite, encore, à prendre une décision finale, bien que les organisateurs aient revu en baisse le protocole sanitaire et les conditions de participation qui se limitent, entre autres, à :
- Pas de mise sous bulle à l’aéroport de New-York.
- Les joueurs/joueuses et leur entourage ne logeront pas à l’hôtel de l’aéroport «JFK» mais dans deux hôtels officiels: le «Long Island Marriott» et le «Garden City».
Isolement et sécurité
Ils auront la possibilité d’être accompagnés par trois personnes de leur équipe. Une seule peut être présente sur le terrain lors de la compétition ; ce qui implique l’obligation pour tous de séjourner dans les hôtels officiels et dans l’une des deux chambres que chaque joueur de tennis pourra avoir. Afin de garantir l’isolement et une sécurité sanitaire maximale dans les hôtels, tout le monde sera soumis à un test de dépistage à l’arrivée à l’hôtel et personne ne sera autorisé à partir avant d’avoir reçu la confirmation qu’il est négatif. Voir «Repères».
Déjà côté Dames, on nous apprend que plusieurs du «Top 10» pourraient, quoi qu’il arrive, zapper ce voyage newyorkais, à l’image des deux dernières tenantes du titre, en la personne de la Canadienne Bianca Andreescu et de la Japonaise Naomi Osaka, vainqueurs de l’Américaine Serena Williams, respectivement en 2019 et 2018. Les deux joueuses, en plus de l’Allemande Angelique Kerber, ne se sont, toujours, pas inscrites, alors qu’il ne leur reste que quelques jours pour la clôture. Elles ne se sont pas, non plus, inscrites au tournoi de Cincinnati, délocalisé à NewYork la semaine précédant l’US Open.
L’impasse sur Cincinnati
Même la N°1 mondiale Ashleigh Barty, sa dauphine Simona Halep (qui a renoncé dernièrement à disputer le tournoi de Palerme) et la N°5, Elina Svitolina, vont faire l’impasse sur le tournoi de Cincinnati. D’autres comme Petra Martic (15e) et Qiang Wang (29e) ne disputeront pas, non plus, Cincinnati mais prévoient de jouer l’US Open, si le tournoi est maintenu bien sûr.
Même du côté Messieurs, il y a, encore, des réticences où le trio de tête, Djokovic, Nadal et Thiem, hésite, encore, à prendre une décision finale, bien que les organisateurs aient revu en baisse le protocole sanitaire et les conditions de participation qui se limitent, entre autres, à :
- Pas de mise sous bulle à l’aéroport de New-York.
- Les joueurs/joueuses et leur entourage ne logeront pas à l’hôtel de l’aéroport «JFK» mais dans deux hôtels officiels: le «Long Island Marriott» et le «Garden City».
Isolement et sécurité
Ils auront la possibilité d’être accompagnés par trois personnes de leur équipe. Une seule peut être présente sur le terrain lors de la compétition ; ce qui implique l’obligation pour tous de séjourner dans les hôtels officiels et dans l’une des deux chambres que chaque joueur de tennis pourra avoir. Afin de garantir l’isolement et une sécurité sanitaire maximale dans les hôtels, tout le monde sera soumis à un test de dépistage à l’arrivée à l’hôtel et personne ne sera autorisé à partir avant d’avoir reçu la confirmation qu’il est négatif. Voir «Repères».
Repères
Le détail du protocole
Même si les doutes sont, de plus en plus, importantes, les organisateurs de l’US Open ont fait parvenir aux joueurs/joueuses le détail du protocole sanitaire retenu. Ils vont construire une bulle sanitaire. Quand les joueurs/ joueuses arrivent, ils sont testés, puis isolés jusqu’à la réception des tests. Donc, environ 24 heures. D’un autre côté, on ne peut entrer sur le territoire qu’avec une autorisation du gouvernement et de l’USTA. Il faut que tout le monde arrive suffisamment en avance pour faire les tests.
Répéter les tests
Un deuxième test sera effectué 48 heures après leur arrivée, tandis que pendant la semaine du tournoi, ils pourront en faire plus régulièrement. En plus, chacun se fera prendre sa température à chaque fois qu’il entrera dans les installations et devra remplir un formulaire signalant tout symptôme pouvant être lié à la maladie.
Positif... out
Une procédure beaucoup plus liée à la compétition où tous les joueurs / joueuses positifs sont éliminés durant le tournoi. Donc, avant un match, et ce, à n’importe quel stade de la compétition et évidemment quel que soit son rang, un joueur ou une joueuse pourrait donc perdre pour raison sanitaire. Et en entraîner d’autres...Alors, imaginez une finale entre Djokovic et Nadal dont l’un d’eux soit testé, le matin, positif.