Lors d’une conférence de presse, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré que le Conseil de défense nationale, présidé par le Chef de l’Etat Emmanuel Macron, « a décidé d’une augmentation de notre posture de vigilance », à partir de ce vendredi 30 octobre.
Selon le ministre, 3.500 gendarmes réservistes seront rappelés à partir de lundi alors que 3.500 gendarmes et policiers mobiles seront à la disposition des préfets pour veiller notamment à la sécurité des écoles et des lieux de culte.
Il a ajouté, dans ce sens, qu’il mobilisera 120 policiers supplémentaires pour veiller à la sécurisation de la ville de Nice, « plusieurs fois touchée par des attentats terroristes ».
De son côté, la ministre des Armées, Florence Parly, a fait savoir que le chef de l’Etat a décidé de porter le nombre des effectifs de l’Opération Sentinelle, mise en place au lendemain des attentats de 2015, de 3.000 à 7.000 éléments pour « accompagner l’effort de renforcement » de la posture de vigilance.
Il s’agit d’un « acte opérationnel fort qui incarne notre détermination à ne rien céder au terrorisme », a-t-elle affirmé, faisant observer que le déploiement de militaires supplémentaires a commencé dès hier en particulier à Nice.
Elle a ajouté que « sa montée en puissance va se déployer très rapidement dans les tous prochains jours », rappelant que les patrouilles Sentinelle continuent leurs missions en attendant les renforts et qu'une attention particulière sera accordée aux lieux de culte et aux écoles dans les circonstances actuelles.
Quant au chef de la diplomatie, Jean-Yves Le Drian, a indiqué que la « menace est aussi forte à l’étranger », notant que le gouvernement a décidé de prendre « toutes les mesures pour assurer la sécurité de nos intérêts et de nos ressortissants ».
Il a précisé que des instructions ont été données aux ambassadeurs pour renforcer les mesures de sécurité, alors qu’un message d’alerte attentat a été envoyé hier soir à l'ensemble des ressortissants français à l'étranger les avisant que la menace est partout quels que soient les lieux.
Rappelant que cette décision intervient suite à l’assassinat de trois personnes, dont une au moins égorgée, jeudi 29 octobre, lors d'une attaque au couteau à l’intérieur de la basilique de Notre-Dame à Nice.
Une enquête pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste », « tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle » a été ouverte par le parquet national antiterroriste
Selon le ministre, 3.500 gendarmes réservistes seront rappelés à partir de lundi alors que 3.500 gendarmes et policiers mobiles seront à la disposition des préfets pour veiller notamment à la sécurité des écoles et des lieux de culte.
Il a ajouté, dans ce sens, qu’il mobilisera 120 policiers supplémentaires pour veiller à la sécurisation de la ville de Nice, « plusieurs fois touchée par des attentats terroristes ».
De son côté, la ministre des Armées, Florence Parly, a fait savoir que le chef de l’Etat a décidé de porter le nombre des effectifs de l’Opération Sentinelle, mise en place au lendemain des attentats de 2015, de 3.000 à 7.000 éléments pour « accompagner l’effort de renforcement » de la posture de vigilance.
Il s’agit d’un « acte opérationnel fort qui incarne notre détermination à ne rien céder au terrorisme », a-t-elle affirmé, faisant observer que le déploiement de militaires supplémentaires a commencé dès hier en particulier à Nice.
Elle a ajouté que « sa montée en puissance va se déployer très rapidement dans les tous prochains jours », rappelant que les patrouilles Sentinelle continuent leurs missions en attendant les renforts et qu'une attention particulière sera accordée aux lieux de culte et aux écoles dans les circonstances actuelles.
Quant au chef de la diplomatie, Jean-Yves Le Drian, a indiqué que la « menace est aussi forte à l’étranger », notant que le gouvernement a décidé de prendre « toutes les mesures pour assurer la sécurité de nos intérêts et de nos ressortissants ».
Il a précisé que des instructions ont été données aux ambassadeurs pour renforcer les mesures de sécurité, alors qu’un message d’alerte attentat a été envoyé hier soir à l'ensemble des ressortissants français à l'étranger les avisant que la menace est partout quels que soient les lieux.
Rappelant que cette décision intervient suite à l’assassinat de trois personnes, dont une au moins égorgée, jeudi 29 octobre, lors d'une attaque au couteau à l’intérieur de la basilique de Notre-Dame à Nice.
Une enquête pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste », « tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle » a été ouverte par le parquet national antiterroriste