Les services de police de l'arrondissement de Tabriquet viennent de présenter auprès du procureur du roi, un salafiste soupçonné de trafic de psychotropes à Salé. Il avait été pris en flagrant délit, possédant de 52 comprimés qu'il proposait à la vente, rapporte Assabah.
Sur la base des informations fournies par les consommateurs de psychotropes lors de leur interrogatoire, la police a mené des enquêtes qui ont abouti à l'arrestation de leur trafiquant de drogue.
Le dealer est un homme à longue barbe, qui s'habille comme un salafiste et qui a un « casse-croûte ambulant ». Les enquêteurs, après avoir découvert que plusieurs consommateurs de psychotropes fréquentaient l'endroit où le salafiste en question se faisait passer pour un vendeur ambulant de sandwichs, ont réussi à retrouver sa trace. Arrêté en pleine opération de vente de comprimés à un jeune, la perquisition sur place révéla alors qu'il disposait de 52 comprimés proposés à la vente.
La police a confirmé que les clients du dealer l'avaient d'abord contacté par téléphone, avant de le rejoindre au point de vente où le salafiste prétend vendre des sandwichs. Ensuite, L'enquête a révélé que le salafiste bigame était en fait un condamné qui venait de purger une longue peine de prison. À sa libération, l'homme est devenu un pratiquant assidu et s'est marié à deux jeunes filles qui portent le "khimar", précise la même source.
Actuellement, le suspect a été placé en détention provisoire en attendant la fin de l'enquête.
Sur la base des informations fournies par les consommateurs de psychotropes lors de leur interrogatoire, la police a mené des enquêtes qui ont abouti à l'arrestation de leur trafiquant de drogue.
Le dealer est un homme à longue barbe, qui s'habille comme un salafiste et qui a un « casse-croûte ambulant ». Les enquêteurs, après avoir découvert que plusieurs consommateurs de psychotropes fréquentaient l'endroit où le salafiste en question se faisait passer pour un vendeur ambulant de sandwichs, ont réussi à retrouver sa trace. Arrêté en pleine opération de vente de comprimés à un jeune, la perquisition sur place révéla alors qu'il disposait de 52 comprimés proposés à la vente.
La police a confirmé que les clients du dealer l'avaient d'abord contacté par téléphone, avant de le rejoindre au point de vente où le salafiste prétend vendre des sandwichs. Ensuite, L'enquête a révélé que le salafiste bigame était en fait un condamné qui venait de purger une longue peine de prison. À sa libération, l'homme est devenu un pratiquant assidu et s'est marié à deux jeunes filles qui portent le "khimar", précise la même source.
Actuellement, le suspect a été placé en détention provisoire en attendant la fin de l'enquête.