Après une première tentative qui a été vouée à l’échec il y a quelques semaines, les autorités marocaines auraient confirmé aux organisations agricoles espagnoles, le samedi 15 mai, que les 170 saisonnières marocaines sous contrat, bloquées à Huelva, pourront rentrer le 19 mai. Selon le site d’information « Huelva 24 », les saisonnières qui profiteront de ce corridor humanitaire doivent en premier présenter un test PCR négatif pour pouvoir regagner leurs familles au Maroc.
Les organisations agricoles AsajaHuelva, Freshuelva et Cooperativas Agro-Alimentarias de Andalucía, avec l’aide de l’Interfresa Prelsi, sont en pleine préparation de cette opération de rapatriement, a précisé la même source. Les négociations entre autorités marocaines et espagnoles ont été notamment menées avec le consulat du Maroc et l’ambassadrice du Royaume, Karima Benyaïch.
Rappatriement suite à des situations délicates L’Union des petits agriculteurs et éleveurs (UPA) a rappelé, dans un communiqué lancé vendredi dernier, que ce couloir humanitaire, qui concernait 80 saisonnières, était prévu le 21 avril 2021, «avec le respect de toutes les mesures administratives et sanitaires en vigueur». Parmi les raisons de ce retour, le syndicat a évoqué des «raisons de santé, la naissance d’enfants ou le décès de proches au Maroc» pour ces saisonnières. Depuis lors, «les besoins de rapatriement sont passés à 170 personnes».
Les organisations agricoles AsajaHuelva, Freshuelva et Cooperativas Agro-Alimentarias de Andalucía, avec l’aide de l’Interfresa Prelsi, sont en pleine préparation de cette opération de rapatriement, a précisé la même source. Les négociations entre autorités marocaines et espagnoles ont été notamment menées avec le consulat du Maroc et l’ambassadrice du Royaume, Karima Benyaïch.
Rappatriement suite à des situations délicates L’Union des petits agriculteurs et éleveurs (UPA) a rappelé, dans un communiqué lancé vendredi dernier, que ce couloir humanitaire, qui concernait 80 saisonnières, était prévu le 21 avril 2021, «avec le respect de toutes les mesures administratives et sanitaires en vigueur». Parmi les raisons de ce retour, le syndicat a évoqué des «raisons de santé, la naissance d’enfants ou le décès de proches au Maroc» pour ces saisonnières. Depuis lors, «les besoins de rapatriement sont passés à 170 personnes».
