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Le gouvernement tunisien dit s'engager à mettre en œuvre tous les accords conclus l’UGTT alors que la Tunisie affiche un taux de chômage de 18,4 %, avec 762.600 chômeurs sur la population totale.
Il a ajouté que les taux de chômage ont augmenté de 0,5 point pour les deux sexes, atteignant 15,9% pour les hommes et 24,1% pour les femmes, dans un contexte de crise politique et économique que traverse le pays depuis les décisions du président tunisien, Kais Saied, de dissoudre le précédent gouvernement et suspendre les travaux du Parlement le 25 juillet dernier.
Mardi, l'Union générale tunisienne du travail a accusé "tout le monde", y compris le président du pays, de se soustraire au dialogue, et a renouvelé son appel à commencer à mettre en œuvre une feuille de route pour faire face à la crise actuelle.
Le secrétaire général adjoint chargé des médias au sein du syndicat, Sami Al-Tahri, a déclaré au journal Al-Sahafa que « le moment est venu de clarifier la feuille de route, de la mettre à l'épreuve de l'action politique et de commencer à mettre en œuvre ses dispositions".
Il a souligné que "la période de silence et d'attente a pris trop de temps, et aucune arène politique dans le monde ne peut tolérer un tel vide".
Samedi dernier, le sous-secrétaire général de l'Union a mis en garde contre les explosions sociales, en raison de la détérioration de la situation dans le pays et de l'aggravation de la crise actuelle.
Il a ajouté que les taux de chômage ont augmenté de 0,5 point pour les deux sexes, atteignant 15,9% pour les hommes et 24,1% pour les femmes, dans un contexte de crise politique et économique que traverse le pays depuis les décisions du président tunisien, Kais Saied, de dissoudre le précédent gouvernement et suspendre les travaux du Parlement le 25 juillet dernier.
Mardi, l'Union générale tunisienne du travail a accusé "tout le monde", y compris le président du pays, de se soustraire au dialogue, et a renouvelé son appel à commencer à mettre en œuvre une feuille de route pour faire face à la crise actuelle.
Le secrétaire général adjoint chargé des médias au sein du syndicat, Sami Al-Tahri, a déclaré au journal Al-Sahafa que « le moment est venu de clarifier la feuille de route, de la mettre à l'épreuve de l'action politique et de commencer à mettre en œuvre ses dispositions".
Il a souligné que "la période de silence et d'attente a pris trop de temps, et aucune arène politique dans le monde ne peut tolérer un tel vide".
Samedi dernier, le sous-secrétaire général de l'Union a mis en garde contre les explosions sociales, en raison de la détérioration de la situation dans le pays et de l'aggravation de la crise actuelle.