L'Union européenne a décidé de geler sa coopération avec la police israélienne, en raison des "craintes" suscitées par la politique du prochain gouvernement, selon un journal israélien.
Les deux parties ont signé un projet d'accord, en septembre dernier, visant à améliorer le transfert d'informations et de renseignements entre Israël et les pays de l'UE, dans le but de "contrecarrer la criminalité et le terrorisme", mais cet accord doit maintenant être approuvé par le Parlement européen.
Mardi soir, le quotidien Haaretz, se référant à des sources bien informées à Tel Aviv, sans les nommer, a fait état que "l'UE a informé l'ambassadeur d'Israël, Haim Regev, qu'elle allait, pour l'instant, cesser de faire avancer le projet d'accord de coopération en matière de renseignement entre la police israélienne et l'Agence européenne de police (Europol)".
Le journal précise que Regev a reçu l'annonce de la suspension de l'accord vendredi dernier.
Des responsables israéliens ont déclaré à Haaretz que cette décision est la première indication européenne que le changement de politique israélienne en Cisjordanie va nuire à la coopération avec l'Union européenne.
Aussi, il y aurait "une pression en Europe pour réduire la tolérance envers Israël maintenant que le gouvernement a changé".
Les deux parties ont signé un projet d'accord, en septembre dernier, visant à améliorer le transfert d'informations et de renseignements entre Israël et les pays de l'UE, dans le but de "contrecarrer la criminalité et le terrorisme", mais cet accord doit maintenant être approuvé par le Parlement européen.
Mardi soir, le quotidien Haaretz, se référant à des sources bien informées à Tel Aviv, sans les nommer, a fait état que "l'UE a informé l'ambassadeur d'Israël, Haim Regev, qu'elle allait, pour l'instant, cesser de faire avancer le projet d'accord de coopération en matière de renseignement entre la police israélienne et l'Agence européenne de police (Europol)".
Le journal précise que Regev a reçu l'annonce de la suspension de l'accord vendredi dernier.
Des responsables israéliens ont déclaré à Haaretz que cette décision est la première indication européenne que le changement de politique israélienne en Cisjordanie va nuire à la coopération avec l'Union européenne.
Aussi, il y aurait "une pression en Europe pour réduire la tolérance envers Israël maintenant que le gouvernement a changé".