La première rencontre a eu lieu avec le député Lukas Mandl, vice-président de la délégation de l'Union Européenne à la défense et à la sécurité et a évoqué la question des enfants soldats (30.000 enfants yéménites), de l'endoctrinement et de l'abandon scolaire depuis 7 ans ainsi que des camps d'entraînement par la milice Houthie. Il y a des garçons et des filles maltraités et recrutés comme enfants soldats. L'endoctrinement de ces enfants est une menace réelle pour la paix et la sécurité dans la région et une violation des droits de l'enfant.
Pour sa part, le député Antonio Lopez-Isturiz White, membre de la commission AFET et de la délégation des relations avec la péninsule arabe, a conseillé Mme Wesam, ainsi que tous les militants des droits de l'Homme dans la région, de maintenir un dialogue avec les institutions européennes et de s’armer de patience et de persévérance dans la lutte contre l'islam radical et contre les milices soutenues par l'Iran, et de continuer à dénoncer les organisations qui soutiennent les crimes des Houthis.
Andras Szenczi, conseiller du parlementaire Gyorgy Holvenyi et porte-parole de la délégation des droits de l'Homme à l'UE, a évoqué quant à lui le rôle de l'Union dans l'aide à la population yéménite à travers la présence d’ONG sur le terrain.
Toutefois, Mme wesam n’a pas manqué de demander à l'UE une prudence dans ses relations avec des organisations qui pourraient prétendre à une certaine neutralité mais qui, en réalité, ne manquent pas de soutenir indirectement les Houthis au Yémen.
Détentions arbitraires, peine de mort et sanctions contre les journalistes
D’autres part, si Mme Wesam Basindawa a reconnu qu'il y a moins de violence dans les zones de guerre par rapport à l'année dernière au Yémen, en termes de droits de l'Homme, selon elle, la situation s'aggrave principalement pour les droits des femmes et la liberté d'expression. Les détentions arbitraires par les Houthis, la peine de mort et les sanctions contre les journalistes, ainsi que des enlèvements de dissidents politiques sont devenus plus fréquents.
Le député Robert Biedrone, président du comité des droits de la femme et de l'égalité des sexes a souligné le rôle du comité dans le renforcement des droits des femmes dans le monde. Il a également ajouté que l'UE est prête à soutenir les droits des femmes dans les zones de conflit, principalement au Yémen.
La présidente de la Coalition yéménite pour les femmes indépendantes a révélé que les Houthis recrutent des enfants, garçons et filles, pour en faire des soldats. Mme Wesam a aussi fait état de 1100 femmes dans les prisons houthies, dont des politiciennes et des journalistes, depuis 2017, que les Houthis refusent toujours de libérer.
Pour sa part, le député Antonio Lopez-Isturiz White, membre de la commission AFET et de la délégation des relations avec la péninsule arabe, a conseillé Mme Wesam, ainsi que tous les militants des droits de l'Homme dans la région, de maintenir un dialogue avec les institutions européennes et de s’armer de patience et de persévérance dans la lutte contre l'islam radical et contre les milices soutenues par l'Iran, et de continuer à dénoncer les organisations qui soutiennent les crimes des Houthis.
Andras Szenczi, conseiller du parlementaire Gyorgy Holvenyi et porte-parole de la délégation des droits de l'Homme à l'UE, a évoqué quant à lui le rôle de l'Union dans l'aide à la population yéménite à travers la présence d’ONG sur le terrain.
Toutefois, Mme wesam n’a pas manqué de demander à l'UE une prudence dans ses relations avec des organisations qui pourraient prétendre à une certaine neutralité mais qui, en réalité, ne manquent pas de soutenir indirectement les Houthis au Yémen.
Détentions arbitraires, peine de mort et sanctions contre les journalistes
D’autres part, si Mme Wesam Basindawa a reconnu qu'il y a moins de violence dans les zones de guerre par rapport à l'année dernière au Yémen, en termes de droits de l'Homme, selon elle, la situation s'aggrave principalement pour les droits des femmes et la liberté d'expression. Les détentions arbitraires par les Houthis, la peine de mort et les sanctions contre les journalistes, ainsi que des enlèvements de dissidents politiques sont devenus plus fréquents.
Le député Robert Biedrone, président du comité des droits de la femme et de l'égalité des sexes a souligné le rôle du comité dans le renforcement des droits des femmes dans le monde. Il a également ajouté que l'UE est prête à soutenir les droits des femmes dans les zones de conflit, principalement au Yémen.
La présidente de la Coalition yéménite pour les femmes indépendantes a révélé que les Houthis recrutent des enfants, garçons et filles, pour en faire des soldats. Mme Wesam a aussi fait état de 1100 femmes dans les prisons houthies, dont des politiciennes et des journalistes, depuis 2017, que les Houthis refusent toujours de libérer.