L’association JOOD estime qu'il est temps de rendre les sans-abris productifs. Dans ce cadre, Une campagne de réinsertion vient d’être lancée par Jood qui agit depuis 2015 pour venir en aide aux sans-abris.
Ainsi, les bénéficiaires auront pendant 3 mois un toit de quoi vivre et un tricycle dans le cadre d’un projet de «street food» pour que la personne puisse préparer et vendre des sandwichs.
Cette campagne vise à collecter des dons pour «réussir une réinsertion sociale et économique massive au profit de 50 sans-abris» .
De plus, un programme de formation et d’accompagnement sera proposé en parallèle aux 50 SDF bénéficiaires de ce projet pour qu’ils mènent leurs projets à bien, précise le communiqué.
Pour réussir ce projet, l’association devrait collecter 20 000 dirhams pour chacun des 50 sans-abris. Jood souligne que l’espoir est de pouvoir venir en aide au plus de personnes possibles.
Par ailleurs, l’association a pu, depuis sa création, sauver 426 personnes de la rue. Néanmoins, la crise sanitaire a gravement accentué la précarité de la couche sociale la plus vulnérable et a participé à l'évolution des nombres des personnes mises à la rue, conclut-on.
Ainsi, les bénéficiaires auront pendant 3 mois un toit de quoi vivre et un tricycle dans le cadre d’un projet de «street food» pour que la personne puisse préparer et vendre des sandwichs.
Cette campagne vise à collecter des dons pour «réussir une réinsertion sociale et économique massive au profit de 50 sans-abris» .
De plus, un programme de formation et d’accompagnement sera proposé en parallèle aux 50 SDF bénéficiaires de ce projet pour qu’ils mènent leurs projets à bien, précise le communiqué.
Pour réussir ce projet, l’association devrait collecter 20 000 dirhams pour chacun des 50 sans-abris. Jood souligne que l’espoir est de pouvoir venir en aide au plus de personnes possibles.
Par ailleurs, l’association a pu, depuis sa création, sauver 426 personnes de la rue. Néanmoins, la crise sanitaire a gravement accentué la précarité de la couche sociale la plus vulnérable et a participé à l'évolution des nombres des personnes mises à la rue, conclut-on.