Ayant connu la participation d’enseignants-chercheurs et d’universitaires spécialisés dans l’enseignement du cinéma, issus du Maroc et de l’étranger, ce colloque a été organisé deux jours durant à l’initiative du Laboratoire de littérature, art et ingénierie pédagogique de la Faculté, en partenariat avec l’Association marocaine de recherches académiques en cinéma (AMRAC) et la chaire ICESCO pour les lettres et les arts comparés.
S’exprimant à l’ouverture de cette rencontre, le doyen de la Faculté des langues, lettres et arts, Mohamed Zarrou, a fait savoir que l’enseignement du cinéma à l’université figure au centre des préoccupations, notant que l’évolution des sociétés incite les universitaires à davantage de réflexion et de création. Il a, dans ce sens, appelé à une ouverture sur la recherche académique via diverses manières et compétences propres à la littérature et les arts, soutenant que l’Université a pris l’initiative de scinder la Faculté des lettres en un département spécialisé dans les langues et les arts et un autre dédié aux sciences humaines et sociales.
Cette vision stratégique devrait être adoptée à l’université marocaine, a-t-il estimé, relevant que les craintes liées à l’assimilation par les étudiants de ce changement ont été dissipées puisqu’ils ont montré une passion et un intérêt pour ces disciplines. Le doyen a conclu que les problématiques de l’enseignement du cinéma dans les universités marocaines doivent être soulevées afin d’aboutir à des recommandations qui seront prises en compte lors de l’examen des ingénieries pédagogiques.
De son côté, la présidente du Laboratoire de littérature, art et ingénierie pédagogique et directrice de la chaire ICESCO pour les lettres et les arts comparés, Sanae Ghouati, a indiqué que cette question intervient dans le cadre de la nouvelle transformation qu’opère l’Université et l’examen des voies de renouvellement dans l’enseignement des arts tels que le cinéma, le théâtre et la peinture.
Ghouati a souligné que les Facultés des lettres se sont toujours intéressées aux arts mais il convient dès lors de développer des mécanismes appropriés pour enseigner chaque genre artistique en fonction de ses spécificités, ajoutant que les mécanismes d’enseignement des arts se chevauchent avec d’autres disciplines des sciences humaines et sociales.
Pour sa part, le président de l’AMRAC, Hamadi Kerroum, a noté que cette rencontre vise à enrichir la mémoire cinématographique au profit des générations futures, affirmant que l’enseignement du cinéma dans l’université témoigne de l’ouverture des sociétés.
S’exprimant à l’ouverture de cette rencontre, le doyen de la Faculté des langues, lettres et arts, Mohamed Zarrou, a fait savoir que l’enseignement du cinéma à l’université figure au centre des préoccupations, notant que l’évolution des sociétés incite les universitaires à davantage de réflexion et de création. Il a, dans ce sens, appelé à une ouverture sur la recherche académique via diverses manières et compétences propres à la littérature et les arts, soutenant que l’Université a pris l’initiative de scinder la Faculté des lettres en un département spécialisé dans les langues et les arts et un autre dédié aux sciences humaines et sociales.
Cette vision stratégique devrait être adoptée à l’université marocaine, a-t-il estimé, relevant que les craintes liées à l’assimilation par les étudiants de ce changement ont été dissipées puisqu’ils ont montré une passion et un intérêt pour ces disciplines. Le doyen a conclu que les problématiques de l’enseignement du cinéma dans les universités marocaines doivent être soulevées afin d’aboutir à des recommandations qui seront prises en compte lors de l’examen des ingénieries pédagogiques.
De son côté, la présidente du Laboratoire de littérature, art et ingénierie pédagogique et directrice de la chaire ICESCO pour les lettres et les arts comparés, Sanae Ghouati, a indiqué que cette question intervient dans le cadre de la nouvelle transformation qu’opère l’Université et l’examen des voies de renouvellement dans l’enseignement des arts tels que le cinéma, le théâtre et la peinture.
Ghouati a souligné que les Facultés des lettres se sont toujours intéressées aux arts mais il convient dès lors de développer des mécanismes appropriés pour enseigner chaque genre artistique en fonction de ses spécificités, ajoutant que les mécanismes d’enseignement des arts se chevauchent avec d’autres disciplines des sciences humaines et sociales.
Pour sa part, le président de l’AMRAC, Hamadi Kerroum, a noté que cette rencontre vise à enrichir la mémoire cinématographique au profit des générations futures, affirmant que l’enseignement du cinéma dans l’université témoigne de l’ouverture des sociétés.
Maroc : une attractivité cinématographique croissante
Le célèbre magazine américain de divertissement « Variety » a mis en exergue le boom des tournages de films étrangers au Maroc, ainsi que l’accès grandissant des productions cinématographiques marocaines à l’international. « Le Maroc est en train de devenir une destination populaire pour les tournages internationaux de films et de séries télévisées », affirme la revue dans un article publié sur son site internet.
Avec 31 films, le Maroc pointe à la dixième place du classement des pays les plus populaires pour les tournages cinématographiques. Par ailleurs, selon une étude de Kuoni, une agence de voyages généraliste en ligne, le Maroc occupe la dixième place du classement des pays les plus populaires pour les tournages cinématographiques.
Avec 31 films, le Maroc pointe à la dixième place du classement des pays les plus populaires pour les tournages cinématographiques. Par ailleurs, selon une étude de Kuoni, une agence de voyages généraliste en ligne, le Maroc occupe la dixième place du classement des pays les plus populaires pour les tournages cinématographiques.
