"Le Royaume est profondément investi dans la lutte contre le changement climatique, malgré sa faible contribution aux émissions de gaz à effet de serre", a ajouté M. Baraka à l’ouverture des travaux de la 4è édition de la Conférence Internationale sur la mobilité durable (CIMD) jumelée avec la conférence annuelle de la Fédération Routière Internationale (IRF).
Et de poursuivre que le Maroc a hissé au niveau international son niveau d'ambition, déjà élevé initialement, à un objectif conditionnel de réduction des gaz à effet de serre de 45,5% et un objectif inconditionnel de 18,3%, alors que la contribution déterminée au niveau national comprend 61 mesures pour un budget total de près de 40 milliards de dollars.
En parallèle, le Maroc consent des efforts inlassables pour mettre en œuvre les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) de l'Agenda 2030 de l'ONU et s'est distingué en démontrant une réelle capacité à suivre les progrès, a-t-il ajouté, relevant que le Royaume a engagé, sous la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le virage de la transition énergétique, notamment, à travers la stratégie énergétique nationale favorisant le développement des énergies renouvelables, l'efficacité énergétique et l'intégration régionale.
Ce choix audacieux et pionnier a permis au Royaume d'atteindre un mix énergétique de près de 40% d'énergies renouvelables, un objectif porté à 52% d'ici 2030, s’est-il félicité, indiquant que le Maroc entend conforter sa position de leader régional de l'énergie verte compétitive à l'horizon 2035, après avoir mené une grande consultation nationale, qui a abouti à un Nouveau Modèle de Développement dont, les résultats soulignent une forte volonté du Royaume de s'ancrer dans une économie verte inclusive, porteuse d'opportunités et de croissance, qui positionne la mobilité électrique et la mobilité alternative comme des priorités géostratégiques.
"Sur la base des orientations du Nouveau Modèle de Développement ainsi que de l'Accord de Paris, le Maroc a élaboré une Stratégie Bas Carbone à Long Terme publiée en octobre 2021, qui vise 40% d'énergies renouvelables dans la consommation totale d'énergie et qui met en place l'électrification d'usages, la transition numérique, l'investissement dans le développement de nouvelles infrastructures de transport bas carbone, et l'intégration de l'hydrogène vert pour la décarbonation des transports, comme axes stratégiques de développement, a-t-il insisté.
Organisée par la Société Nationale des Autoroutes du Maroc (ADM) en collaboration avec son partenaire historique la Fédération Routière Internationale (IRF), dont la présidence est assurée par le Maroc, la 4ème édition de la CIMD et la conférence annuelle de l’IRF constituent une occasion pour d’éminents intervenants politiques, institutionnels, économiques, techniques, scientifiques et associatifs, de partager leurs expériences et de débattre des stratégies futures à adopter ainsi que des nouveaux mécanismes de financement à explorer pour des actions efficaces en la matière.
Placée sous le thème "Décarboner, financer et digitaliser le secteur routier pour une mobilité et un développement durables", cette rencontre, initiée en 2016 à la veille de la COP22, est aujourd'hui une véritable plateforme de dialogue pour l’ensemble des parties prenantes de la mobilité durable, venus échanger sur les politiques déployées, partager des expériences, capitaliser sur les bonnes pratiques, sensibiliser et enfin positionner durablement la mobilité comme une priorité nationale.
Et de poursuivre que le Maroc a hissé au niveau international son niveau d'ambition, déjà élevé initialement, à un objectif conditionnel de réduction des gaz à effet de serre de 45,5% et un objectif inconditionnel de 18,3%, alors que la contribution déterminée au niveau national comprend 61 mesures pour un budget total de près de 40 milliards de dollars.
En parallèle, le Maroc consent des efforts inlassables pour mettre en œuvre les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) de l'Agenda 2030 de l'ONU et s'est distingué en démontrant une réelle capacité à suivre les progrès, a-t-il ajouté, relevant que le Royaume a engagé, sous la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le virage de la transition énergétique, notamment, à travers la stratégie énergétique nationale favorisant le développement des énergies renouvelables, l'efficacité énergétique et l'intégration régionale.
Ce choix audacieux et pionnier a permis au Royaume d'atteindre un mix énergétique de près de 40% d'énergies renouvelables, un objectif porté à 52% d'ici 2030, s’est-il félicité, indiquant que le Maroc entend conforter sa position de leader régional de l'énergie verte compétitive à l'horizon 2035, après avoir mené une grande consultation nationale, qui a abouti à un Nouveau Modèle de Développement dont, les résultats soulignent une forte volonté du Royaume de s'ancrer dans une économie verte inclusive, porteuse d'opportunités et de croissance, qui positionne la mobilité électrique et la mobilité alternative comme des priorités géostratégiques.
"Sur la base des orientations du Nouveau Modèle de Développement ainsi que de l'Accord de Paris, le Maroc a élaboré une Stratégie Bas Carbone à Long Terme publiée en octobre 2021, qui vise 40% d'énergies renouvelables dans la consommation totale d'énergie et qui met en place l'électrification d'usages, la transition numérique, l'investissement dans le développement de nouvelles infrastructures de transport bas carbone, et l'intégration de l'hydrogène vert pour la décarbonation des transports, comme axes stratégiques de développement, a-t-il insisté.
Organisée par la Société Nationale des Autoroutes du Maroc (ADM) en collaboration avec son partenaire historique la Fédération Routière Internationale (IRF), dont la présidence est assurée par le Maroc, la 4ème édition de la CIMD et la conférence annuelle de l’IRF constituent une occasion pour d’éminents intervenants politiques, institutionnels, économiques, techniques, scientifiques et associatifs, de partager leurs expériences et de débattre des stratégies futures à adopter ainsi que des nouveaux mécanismes de financement à explorer pour des actions efficaces en la matière.
Placée sous le thème "Décarboner, financer et digitaliser le secteur routier pour une mobilité et un développement durables", cette rencontre, initiée en 2016 à la veille de la COP22, est aujourd'hui une véritable plateforme de dialogue pour l’ensemble des parties prenantes de la mobilité durable, venus échanger sur les politiques déployées, partager des expériences, capitaliser sur les bonnes pratiques, sensibiliser et enfin positionner durablement la mobilité comme une priorité nationale.