Le gouvernement espagnol a voulu redonner espoir au pays, l'un des pays les plus endeuillés par la pandémie en Europe, en annonçant hier un ambitieux plan de vaccination anti-Covid.
"Nos prévisions sont que, dans tous les scénarios raisonnables, une partie très substantielle de la population espagnole pourra être vaccinée, avec toutes les garanties, au cours du premier semestre", a déclaré le chef du gouvernement, Pedro Sanchez, lors d'un déplacement dans la région de La Rioja, au nord du pays.
Alors que le pic de la seconde vague semble être passé, le dirigeant socialiste a assuré que l'Espagne serait "le premier pays de l'UE, avec l'Allemagne, à avoir un plan global de vaccination" pour ses 47 millions de citoyens.
Ce plan doit être adopté mardi prochain lors du Conseil des ministres, a-t-il précisé, ajoutant que son gouvernement travaillait à sa préparation depuis septembre et que l'Espagne disposait d'une "importante infrastructure logistique" pour la distribution des vaccins.
Ces déclarations interviennent alors que les annonces prometteuses se multiplient pour la commercialisation des vaccins tant attendus.
Feu vert donné à l'achat de doses du vaccin
Mercredi 18 novembre, l'Agence espagnole des Médicaments a autorisé le lancement dans le pays de la dernière phase d'essai d'un vaccin en deux doses du groupe américain Johnson & Johnson, qui sera aussi menée dans huit autres pays.
Il y a un mois, Madrid avait donné son feu vert au futur achat de 31,5 millions de doses du vaccin développé par AstraZeneca et l'université d'Oxford, dans le cadre d'une commande de la Commission européenne auprès de cette entreprise pharmaceutique portant sur l'achat de 300 millions de doses pour l'ensemble de l'UE.
Le gouvernement espagnol suit aussi de près les travaux de l'alliance Pfizer/BioNTech, qui a annoncé hier qu'elle déposerait ce même jour une demande d'autorisation d'urgence pour commercialiser son vaccin aux États-unis.
"Nos prévisions sont que, dans tous les scénarios raisonnables, une partie très substantielle de la population espagnole pourra être vaccinée, avec toutes les garanties, au cours du premier semestre", a déclaré le chef du gouvernement, Pedro Sanchez, lors d'un déplacement dans la région de La Rioja, au nord du pays.
Alors que le pic de la seconde vague semble être passé, le dirigeant socialiste a assuré que l'Espagne serait "le premier pays de l'UE, avec l'Allemagne, à avoir un plan global de vaccination" pour ses 47 millions de citoyens.
Ce plan doit être adopté mardi prochain lors du Conseil des ministres, a-t-il précisé, ajoutant que son gouvernement travaillait à sa préparation depuis septembre et que l'Espagne disposait d'une "importante infrastructure logistique" pour la distribution des vaccins.
Ces déclarations interviennent alors que les annonces prometteuses se multiplient pour la commercialisation des vaccins tant attendus.
Feu vert donné à l'achat de doses du vaccin
Mercredi 18 novembre, l'Agence espagnole des Médicaments a autorisé le lancement dans le pays de la dernière phase d'essai d'un vaccin en deux doses du groupe américain Johnson & Johnson, qui sera aussi menée dans huit autres pays.
Il y a un mois, Madrid avait donné son feu vert au futur achat de 31,5 millions de doses du vaccin développé par AstraZeneca et l'université d'Oxford, dans le cadre d'une commande de la Commission européenne auprès de cette entreprise pharmaceutique portant sur l'achat de 300 millions de doses pour l'ensemble de l'UE.
Le gouvernement espagnol suit aussi de près les travaux de l'alliance Pfizer/BioNTech, qui a annoncé hier qu'elle déposerait ce même jour une demande d'autorisation d'urgence pour commercialiser son vaccin aux États-unis.